« Il n’y a qu’une réussite : pouvoir vivre comme on l’entend. Et au lieu de rêver à notre vie, vivre son rêve ! »
- FEAT - Yo Marius Poste vacant : oui/non | 12 ans ● Né à Heidelberg le 30/03/1999 ● Étudiant ● Collège privé - 1ère année et en 7ième année de formation préparatoire au Conservatoire de Musique de Séoul ● Célibataire ● Hétérosexuel ● Séoulites |
addictions Tatouages : Non ● Piercings : Non ● Alcool : Non ● Drogue : Non ● Autres : Théâtre, Littérature, Études |
my story
L'Allemagne, malgré certains préjugés que certaines personnes ont gardés de mon pays natal après les guerres, je trouve que c'est l'un des plus beaux pays. La ville où je suis né, Heidelberg, n'a rien à envier à une grande ville comme Berlin. C'est une magnifique ville avec des bâtiments dont l'architecture est de style colonial et au loin, on peut y trouver un immense château. Je suis un métis, du côté paternel, je suis Allemand et du côté maternel, Coréenne.
Je suis né en 1999, j’étais très attendu surtout par mes grands-parents puisqu’ils n’avaient pas encore de petit-fils. Les hommes de la famille de mon père ont toujours fait de grandes études et ont toujours bien réussi dans la vie. Je fus donc pousser très jeune à développer mes capacités et à avoir un horaire très strict. Dès l’âge de trois ans, j’apprenais mes premières notes au piano et mon père disait souvent que s’il n’arrivait pas à faire de son fils un grand médecin, il réussirait à le rendre musicien.
J'ai quitté Heidelberg à l'âge de quatre ans pour aller m'installer avec mes parents à Berlin. Je poursuivais mes cours de piano avec une dame du quartier et les fins de semaine, mon père me laissait dans une petite école du centre-ville pour que j’apprenne le violon. À l’âge de six ans, je faisais mon entrée dans une école privée de la grande capitale. J'adorais écouter mes professeurs, rester assis pendant des heures à prendre des notes et à poser des questions. Je participais à toutes les activités de classe et j'avais beaucoup d'amis. J’étais inscris au club de sciences et de lecture. J'avais d'excellentes notes et j'étais aimé de mes professeurs. L'été, je retournai à Heidelberg chez mes grands-parents et mon grand-père s'amusait à me faire des exercices supplémentaires en langue surtout en anglais. Ma mère, elle, m'apprenait le coréen pour que je puisse communiquer avec sa famille par Skype. Déjà au primaire, mon père me poussait pour que je sois parmi les meilleurs autant dans mes classes scolaires que dans mes classes musicales puisque j’avais intégré en même temps que l’école, le conservatoire de musique de Berlin.
Pendant mes années en Allemagne, ma mère aimait beaucoup m'amener voir des pièces de théâtre que je les comprenne ou pas. J'aimais bien voir les décors et les costumes des personnages. De plus, lorsque la pièce se jouait dans une langue étrangère, ma mère prenait le temps de me lire la pièce avant qu'on aille la voir. On s'installait dans son bureau sur le sofa et elle me lisait l'histoire en modifiant sa voix pour que je puisse suivre plus facilement. Je pense que c'est cela qui m'a donné le coup à la littérature et au théâtre. Une année, mes parents avaient assez d'économie pour nous payer un voyage à Séoul. En fait, nous vivions chez les parents de ma mère et je passais ces vacances à connaître la culture. Je passais la plus part de mon temps avec mes cousins ou cousines plus âgés. L’un m’apprit à jouer de la guitare pendant le temps que j’étais là… et me donna des partitions de musique populaire. Mon père tomba amoureuse de la ville, de ses beaux-parents et de la culture.
Il faut croire que c'était mon père qui avait été le plus marqué de ce voyage, car deux ans plus tard, on lui proposa un poste dans sa société comme cadre là-bas et il accepta. Je quittais mon pays pour toujours à l'âge de neuf ans. Ma mère postula pour un poste d'infirmière à l’hôpital. Mon père, lui, entra en fonction quelques jours après notre arrivé. De mon côté, je goûtais aux joies du système éducatif coréen et à la rivalité entre élèves ou écoles. Mon père m’avait obligé à aller dans une école privée et avait racheté la maison de ses beaux-parents pour qu'on vive tous ensemble. Le conservatoire transféra mon dossier à celui de Séoul pour que je puisse continuer mon apprentissage.
Pour acheter la paix mon père m’acheta un piano électronique, mais je savais très bien que c’était pour que je puisse travailler à la maison. Les notes, les bulletins de comportements, les cours du soir étaient encore plus demandant ici que dans mon autre pays. Je passais donc tout mon temps à étudier pour mon bien et mon succès. J'avais des cours du soir trois fois par semaines jusqu'à neuf heures et je devais étudier à la maison après. Les seules fois que j'avais congés, c’est quand je devais aller à mes cours au conservatoire et la fin de semaine pour que je puisse pratiquer ma musique. C'était d'ailleurs le plus grand sujet de disputes entre mes parents... jusqu'à récemment puisque mon père est décédé. Cela va faire un an au mois de février. C'est d'ailleurs à cause d'une dispute à ce sujet que nous avons eu un accident de voiture. J'avais avoué mon désir de laisser tomber le classique pour le populaire et de mon intérêt pour le théâtre. Mon père a perdu toute concentration et s’est retourné pour me dire combien j’étais ingrat…. On a dévié dans l’autre voie et on a évité de près un camion qui venait en sens inverse. Nous avons fait quelques tonneaux et on s’est retrouvé à l'hôpital.
Depuis, ma mère tente de briser les habitudes que mon père m’a inculqué, mais j’ai de la difficulté à délaisser le conservatoire puisque je me sens un peu responsable de la mort de mon père. Elle m’a donc désinscrit à mes cours du soir et m’interdit de pratiquer la fin de semaine…. Elle essaie à sa manière que je vive ma vie comme je le veux...
i am...
Je suis ce que nous appelons un «relly pretty cute boy» surtout pour mes noonas et quelques garçons plus vieux que moi. J'ai un joli minois pour mon âge et il devient mignon comme tout quand j'ai un immense sourire. Ce dernier laisse souvent apparaître mes dents où mes deux canines sont un peu plus proéminentes que celles des coréens normaux. Cela fait d'ailleurs bien rire mes compagnons de classe qui me comparent parfois à un vampire. Mes cheveux que je portais long au primaire sont devenus beaucoup plus court lorsque j'ai intégré un collège privé. C'était le règlement après tout et je risquais l'expulsion. Ils sont de couleur brun foncé tout comme mes yeux et deviennent plus pâles avec le soleil. Je mesure un mètre cinquante-trois et je pèse trente-neuf kilogrammes. Malgré que cela fait trois ans que je suis immigré en Corée du Sud, j'ai gardé mon accent allemand et je tiens à le garder.
Je suis un garçon mature pour mon âge et je peux me risquer à dire que je suis quand même cultivé. Je dis ça parce que je lis beaucoup et j'apprends beaucoup de choses dans les livres. Je n’aime pas beaucoup la compagnie de personnes de mon âge sauf pour jouer au football. Mon entourage est souvent plus âgé que moi et j’aime bien les suivre dans leur activité. J'ai aussi une petite tendance à avoir la mèche courte quand une personne s'en prend à une personne que j'aime bien. À ce moment-là, je peux chercher la bagarre avec l'autre. Parfois, j'aime bien répondre en anglais ou en allemand quand des personnes me parlent. J'ai l'impression de retrouver la quiétude et la sécurité que j'avais quand j'étais à Berlin. Je mets beaucoup d'effort dans ce que j'entreprends, je me pousse toujours jusqu’à ma limite et j'aime que tout soit parfait. J'adore la couleur rose, ce qui est étrange parfois pour un garçon. J’adore le piano et la guitare, mais ce que j’aime par-dessus tout c’est le théâtre.
me, i & myself
| ● Prénom/Pseudo;;Guizmo ● Âge;;13 ans ● Sexe;;Masculin ● Localisation;;Québec, Canada ● Possibilité de connexion; 6/7 ● Nb de ligne en RP;; J'essaie de toujours faire le maximum ● Comment connaissez-vous le fow;; Heyhey ● Un dernier mot;;Mon DC s'appelle Yun Jae Son et le code : [color=red]validé by Reona[/color] |