« It is what I'm supposed to be... »
- FEAT - U-KNOW Poste vacant : oui/non | 26 ans ● Né à Gwangju [South Korea] le 06/02/1986 ● Célibataire ● Hétérosexuel ● Idol
addictions La scène ● le chant ● la danse ● la lecture ● le sport ● plusieurs piercings aux deux oreilles ● il a fumé étant plus jeune |
my story
« Les évènements qui ont marqués mon enfance, il y a en à la pelle ! Franchement, je pense que c'est pareil pour vous aussi, non ? Mais commençons par le commencement. Je m'appelle Jung Yun Ho... c'est drôle comme ce prénom se prononce de la même manière que
You Know, en anglais. Vous pouvez en dire ce que vous voulez... moi, je pense que c'était le destin. Vous croyez au destin ? Personnellement, je pense que la vie est souvent bien faite. Parfois, mal faite aussi... mais il ne faut pas se laisser démonter par tout ça... et, surtout, saisir les chances pour mettre notre destin sur des rails... Après, le train du destin prend tout seul de la vitesse.
C'est à Gwangju que je suis né, dans le Sud de la Corée, le six février mille-neuf-cent-quatre-vingt-six. Ma date d'anniversaire aussi était un signe du destin... un signe annonçant une des plus belles rencontres qu'il m'ait été donné de faire... mais ça, c'est une autre histoire, avec d'autres personnages !
Les personnages qui nous intéressent ici sont, en premier lieu, mes parents. Mon père était avocat et ma mère femme au foyer. Vous vous doutez bien que je n'ai pas gardé un seul souvenir durant les deux premières années de ma vie. Ni même les six premières, je dois avouer. Seulement voilà, après deux ans que je fus mis au monde, une autre personne vint compléter la famille Jung. Ji Hye, ma petite soeur.
Autant dire que nous avons grandi ensemble, Ji Hye et moi. Bien entendu, je ne m'intéressais pas trop à ses jeux de Barbie et dînette. Et elle... elle ne s'intéressait pas à mon monde masculin occupé par les arts-martiaux, le break-dance, le basket-ball et les motos. Vraiment, nous étions tous les deux typés par notre notre sexe. Elle, une vraie fille et moi, un vrai garçon. Habillé de rose et de bleu respectivement. Cela ne nous a pas empêché d'être toujours très proches, soudés et de nous aider mutuellement quoiqu'il arrive. J'ai toujours été prêt à donner ma vie pour ma petite soeur et je sais que c'est pareil de son côté. Très protecteur, peut-être, mais non moins fier d'elle. Je n'ai jamais éprouvé de la jalousie pour elle, comme elle n'en a jamais éprouvé à mon égard. Nous avons été éduqué dans la politesse, le respect et l'égalité.
Tandis que plus je grandissais, plus mes passions s'affinaient. J'excellais dans le Hap Ki Do mais... je me découvrais également une passion pour le hip-hop et le chant... pour mon plus grand malheur. Frappé par un virus inconnu qui se propagea des oreilles jusqu'aux cordes vocales, j'ai dû subir une opération. Les médecins étaient formels : je ne pourrais plus jamais chanter de ma vie. Mes dents ont également été refaites. Elles sont actuellement en argile, ce que beaucoup semblent oublier et ne pas connaître. Je fus grandement atteint par tout ça, mais ne m'abattis pas. Puisqu'il était hors de question que je chante durant cette période-là de ma vie, je décidai de me consacrer pleinement à la danse. J'avais alors treize... vous imaginez à quel point cela à dû être une période difficile ? Parfois je me demande si les gens cherchent vraiment à savoir ce qui se cache derrière ce sourire d'argile qu'ils voient sur les images dans les magasines.
Finalement, je fus repéré par la SME en gagnant un casting de danse durant ma treizième année. Le bonheur qui m'envahit alors se réprima bien vite face aux sombres évènements qui submergèrent ma famille. Endetté jusqu'au cou, mes parents furent ruinés. Bien que le métier d'avocat paye bien et qu'ils avaient des réserves... c'était loin d'être suffisant. C'est ainsi que débuta le collège pour moi, dans une humeur des plus obscurs.
Je me souviens que durant cette période-là, au collège, mon père se mit à avoir un comportement des plus étranges. Une fois, je fus réveillé à quatre heures du matin par des bruits. Mon père quittait la maison à cette heure-là. Quelle drôle de surprise ! Qu'est-ce qui lui prenait ? Après quelques observations, j'ai réalisé que c'était rapidement devenu une réalité quotidienne. Il rentrait à vingt-et-une heures et à quittait la maison à quatre heures sans faute.
Personne, hormis moi, ne semblait avoir remarqué les agissements bizarres de mon père. C'était donc sûr : il trompait ma mère. Je lui en ai parlé et elle m'a tout simplement rassuré en me disant que
papa n'était pas ce genre de personne. J'avais besoin de preuves solides, alors un jour je l'ai suivi. Persuadé de découvrir le pot-aux-roses ce jour-là... c'est ce qu'il se produisit en effet. Mais pas de le sens où j'y m'y attendais. Mon père entra dans un bâtiment qui m'était inconnu jusqu'alors. Pour éviter les risques, j'ai préféré attendre dehors. Lorsqu'il ressortit, il transportait une pile énorme de journaux. Mon père livrait les journaux. Vous vous rendez compte ? Tant on était dans la mouise, qu'il fallait qu'un homme, avocat de métier, se mette à faire livreur de journaux pour grappiller quelques centimes... et ce, pour nourrir sa famille. Je me rappelle encore de la honte que j'ai ressenti à cet instant-là. Oh non... pas envers mon paternel... mais envers moi-même. Dégoûté d'avoir accusé mon père de choses si horrible alors qu'il ne parlait pas de ses occupations juste par fierté.
L'humiliation que je ressentais s'amplifia et je me mis à vendre une partie mes cachets pour aider ma famille. Mais surtout Ji Hye, pour qu'elle puisse étudier. Je continuais d'aller à l'école moi aussi. Mais je vivais dans la famille d'un camarade, trainee lui aussi. Son nom était Kim Jun Su. Peut-être avez-vous entendu parler de lui ? Ca n'est pas impossible... JunSu et moi nous liâmes d'une forte amitié. Je n'hésitai pas une seule seconde à le présenter à Kim Jae Joong, un autre trainee que je connaissais via la SME.
Puis, mon premier groupe se forma enfin, comptant parmi ses rangs JaeJoong. Ce qui renforça notre amitié. Mais ce groupe-ci ne tint pas très longtemps. Il me fallut attendre mes dix-neuf ans pour intégrer mon premier groupe officiel. DBSK. Dong Bang Shin Ki. Le groupe au complet était composé de Jae Joong, Jun Su, ainsi que deux autres camarades Yoo Chun et Chang Min. Durant cette période-là de ma vie, je m'apprêtais à terminer le lycée et avec mon Q.I. de cent-quarante-deux, je n'étais pas craintif à l'idée d'allier études et travail. Voici comment je suis parvenu à avoir mon diplôme haut la main et, ainsi, à m'inscrire à l'université en droit. Le droit était encore l'une de mes passions à l'époque ! Et je vous laisse deviner d'où elle m'est venue...
Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Mes études étaient lancées, mais mon groupe aussi, d'ailleurs ! Enfin.. je dis mon groupe... mais c'était notre groupe à tous. Je fus désigné leader car je me suis tout simplement proposé en tant que tel en premier. Normalement, c'était l'aîné qui aurait dû avoir ce rôle, mais Jae Joong ne fut pas vexé, au contraire, il était content de me laisser la place. Tous les membres prétendirent que mon charisme était parfait pour ce rôle-là. Le succès affluait en Corée, alors la décision de s'étendre au Japon se fit rapidement. Difficile au début, aucun de nous ne savait parler le japonais, nous avons persisté et les choses se sont améliorées. Et, je dirais même, que c'était le grand triomphe. Les ventes roulaient et les titres se succédaient. Mais j'ai également connu mon lot de bizarreries avec mes fans. Ou, plutôt, mes anti-fans. Je reçus une lettre des plus étranges qui me disait que le jus de fruit accompagnée à celle-ci était empoisonné. J'ai toujours été bon vivant, vous savez ? A repousser les idées négatives d'emblée. J'étais persuadé que personne ne pourrait faire quelque chose d'aussi méchant. Je l'ai bu ce jus de fruit. J'ai été hospitalisé rien que pour avoir été trop crédule pour croire à des menaces de mort. J'ai tendance à me méfier, depuis...
Crise. Le groupe connût une sale période dont il en ressortit estropié. Jae Joong, jugeant la SME injuste envers eux, se décida à quitter DBSK. Il fut suivi de Jun Su et Yoo Chun. Que vouliez-vous que je fasse ? La SME m'a sortie de la misère ! Elle m'a permis de donner une éducation convenable à ma petite soeur, des études et tout ce dont elle méritait. Elle m'a permis de rembourser les dettes de mes parents. Que je la quitte pour aller chez les concurrents ? Il en était hors de question.
Shim Chang Min. Au cours des années passées dans le groupe DBSK, mon amitié avec ce jeune homme se développa. Si bien qu'aujourd'hui il n'est plus un simple camarde, ou membre d'un groupe, ni même un simple ami. C'est un frère. Nos liens se développèrent naturellement. Passionnés tous les deux, nous nous entendions à merveille lorsqu'il était question de musique ou de danse. Mais pas seulement. Ce jeune homme était et est toujours un gentleman. Il a toujours très bien traité les femmes. Ses valeurs se ressentent par ses agissements. Poli, civilisé, il a su m'atteindre en plein coeur. Mais il a également un sens de la loyauté affiné. Un ami fidèle, sur qui j'ai toujours pu compter dans n'importe quelles circonstances. Honnêtement... vous en connaissez beaucoup des personnes comme ça dans votre entourage ? Moi, qu'une. Et elle se prénomme Chang Min, alias Minnie. Et bien sûr... il resta avec moi pour reformer le groupe DBSK.
Dépression. Malgré le soutient constant de Changmin, mon abattement était tel que je n'arrivais pas à m'en relever. Je ne sais pas d'où m'est venue la force mais... maintenant que j'ai remonté la pente, je suis prêt. Prêt à faire renaître DBSK de ses cendres et à faire revivre ce groupe qui m'a rendu si célèbre. Déterminé à me battre, Changmin et moi ne serons pas oubliés et évincés du devant de la scène. Aussi, nous ne sombrerons pas. »
he is...
« La complexité qui se compile dans ce front, cette tête pensante, que dis-je, est d'une précieuse rareté. Ce faciès marqué à plusieurs endroits affichent à la pleine face du monde les coups durs qu'il a dû traverser. D'abord, sous l'oeil gauche et sur le front et enfin une dernière sur la gorge. Celle-ci étant dû à son opération. Celle qui laissa des dents d'argile et une voix présumée bannie du chant à vie. Pourtant, vous connaissez U-KNOW. C'est un acteur, danseur, mannequin, compositeur... mais également chanteur ! Eh oui, comme quoi la médecine est parfois trop tranchante sur les bords. Peut-être prend-il des risques en continuant à chanter mais... vous savez, je ne pense pas qu'aujourd'hui il s'en préoccupe beaucoup.
Le regard teinté de marron qu'il porte sur le monde semble parfois trop naïf, candide et beaucoup trop gentil. Comme si l'être humain naissait bon et mourrait bon. Comme s'il ne pouvait pas faire du mal à autrui et que c'était la dernière des pensées qui lui viendrait à l'esprit. Mon frère est ainsi, oui. Lui-même poli, serviable, fidèle et loyal, il oublie parfois que tous ces miséreux ne pensent pas qu'au bien. Aveuglé par sa propre générosité. C'est certainement son plus gros défaut. Ce qui le rend laxiste. Il accorde sa confiance à autrui bien trop facilement. Tout est gratuit chez lui, il donne sans rien attendre de la part de l'être humain. Être qu'il ne pense pas à juger, d'ailleurs. Il est du genre à penser qu'il faut d'abord penser à s'améliorer soi-même avant de critiquer les autres.
Tout ça lui donne parfois des excès de comportement un peu tête en l'air. Cette partie de son caractère que beaucoup ne semblent pas connaître, oublier ou alors ne voient tout simplement pas. Ce côté bordélique et aux souvenirs limités sont parfois un tantinet gênants pour lui. Mais rien de bien grave qui ne puisse être corrigé.
Se tenir à ses côtés peut être intimidant. Rien que par son physique, il se démarque beaucoup. Un mètre quatre-vingt-quatre en Asie... autant dire
Hello Gulliver ! Mais Gulliver ne saurait être autant à cheval sur son image. En effet, il soigne beaucoup son apparence. Ca n'est pas une question de narcissisme, mais plutôt de la fierté. Il cache ses émotions, veut régler ses soucis tout seul comme un grand, reste digne quoiqu'il arrive et ne s'avoue jamais vaincu ou ne perd pas la face. Qu'est-ce vous croyez ! Il a dû enchaîner les petits boulots avant la création de DBSK pour répondre à mes seuls besoins. Il sait se démerder et se sortir de la débine tout seul. Avant d'être riche, il a été pauvre, alors ne venez pas penser qu'il relève la tête parce qu'il vous méprise. Non... c'est juste un moyen pour dire qu'il n'abandonnera pas. Loin de jeter l'argent par les fenêtres, il est très mature et chaque achat doit être justifié.
Tout ces traits-là, il les tient de nos parents pour qui il a énormément d'estime. Bien plus, nos géniteurs sont ses modèles. C'est un jeune homme respectueux envers ses aînés et n'haussera jamais le ton à leur encontre. Sa politesse peut parfois prêter à confusion et bon nombre de jeune filles ont pensé qu'il était amoureux d'elles. Mais il n'en était rien. Simplement poli, courtois et distingué. Il sait faire plaisir aux femmes et traite celles-ci comme un trésor inestimable.
Ne vous laissez pas attendrir par toutes ces coupes de cheveux qui lui donnent toutes un air plus sage les unes que les autres ! Il a son caractère et il y tient. Nos parents lui ont inculqués une morale et des valeurs qu'il défendra bec et ongle. La confiance aveugle qu'il apporte aux gens le rend compréhensif. Pour lui, l'erreur est humaine et un nouveau départ est tout le temps possible à entrevoir. Mais... brisez sa confiance une seule fois de trop. Comme on dit, il suffit d'une fois.... et tout bascule. La trahison est quelque chose d’impardonnable selon lui. Alors, bon vivant, oui. Mais couillon, non !
L'amitié est très importante à ses yeux. Il se révèle être un confrère encourageant et entraidant. Mais, parfois, il en devient exigeant et demande trop d'efforts de la part de l'autre lorsqu'il s'agit du niveau professionnel. Ce qui le rend, indéniablement, allergique aux compliments. Très rares sont les mots de ce genre qui franchissent ses lèvres pulpeuses. Les seuls fois où il fera les louages d'autrui, ça sera de manière indirecte. C'est-à-dire qu'au cours d'une conversation, il lâchera une petite éloge sur untel et les rumeurs seront ainsi colportées plus loin. Il n'est pas comme ça qu'avec les autres. Envers lui-même aussi, il est très exigeant et n'hésitera pas à mettre sa santé en danger pour atteindre un but. Sa fierté le pousse à endosser de lourds fardeaux; en prenant les erreurs de ses amis sur son compte si cela peut alléger leurs souffrances.
Bien entendu, toute cette image de force et de rigueur agrémentée de beaux vêtements, d'un visage bien propre et soigné... cache les peurs et les doutes qui sont au fond de lui. Toutes ses souffrances, il n'en parlera pas, il les gardera pour lui, se disant que ça finira par s'atténuer. Comme toujours. Lorsqu'il se retrouve déstabilisé, car ça lui arrive aussi... il préfère prendre ses distances et se replier sur lui-même jusqu'à ce que ça passe.
Une autre facette de sa personnalité l'affiche un peu comme le roi du bêtisier. Il aime rire étant donné qu'il est de nature simple et non matérialiste. Il ne se prend pas la tête pour des broutilles et donc il profitera de la vie au maximum. Et rien de tel, pour lui, que les sourires et les rigolades pour ça ! D'ailleurs, Minnie fait souvent les frais de ses blagues et taquineries.
Une fois, mon coeur s'était serré en lisant ceci dans une interview... la question était
et si vous aimiez la même personne que votre ami ?; et sa réponse disait que si c'était un ami aussi proche que Changmin, il se retirait tout de suite car il ne voudrait pas se quereller avec son ami. Aussi, il ajoutait qu'il était un mec bien et qu'il n'espérait, enfin de compte, que le bonheur de Changmin, sans se soucier du sien. S'ensuivait une petite blague qui disait qu'en plus Minnie avait un visage plus cool, alors qu'il comprendrait l'intérêt des filles tournées plutôt sur lui que sa propre personne. J'ai trouvé cela si triste... »
me, i & myself
| ● Prénom/Pseudo;; Shuu ● Âge;; 21 ans ● Sexe;; M ● Localisation;; Suisse ● Possibilité de connexion; 7/7 ● Nb de ligne en RP;; Aucune limite si l'inspiration est au RDV ● Comment connaissez-vous le fow;; Partenariat ● Un dernier mot;; Validé par l'homme de sa vie, le plus heureux de tous, MINNIE - Bananaji. |