- FEAT - MIR [MBLAQ] Poste vacant : non

21 ans ● Né(e) à Séoul le 10/03/1991 ● Métiers ● Études : Génie ● Statut Marital : Célibataire ● Sexualité : Hétérosexuel ● Groupe : SNU addictions Tatouages : Aucuns ● Piercings : Aucuns● Alcool : Tiens très bien l’alcool● Drogue : Cigarette ● Autres : Rien.

Séoul. Grande ville. Des quartiers chiques, des maisons à hors de prix, des idoles par millier et pourtant, même dans ces endroits de luxe, il existe des coins abandonnés, pauvres et isolés de tout. Je suis une de ces personnes qui peuvent témoigner des horreurs qui se passent dans ces endroits. Je suis une des rares personnes de ces endroits qui vit encore en ce jour. Je suis un habitant de ces endroits sombres et reculés, où bagarre, sang et tuerie ne sont que des actes quotidiens de la vie. Les gens vivent dans des logements insalubres, des familles entières sont décimées. Ces endroits comme ceux-ci ne sont pas connus de beaucoup de gens, pourtant ils existent et abritent des êtres humains, parfois à l’article de la mort. J’ai vu le jour dans un de ces appartements vétustes que mes parents avaient loués à une vieille femme. Ils étaient jeunes mes parents, très jeunes, mais ils s’aimaient. Ils me répétaient sans cesse : « Tu es la trace de notre amour ». Je suis né un 10 mars, les flocons ne cessaient de tombés ce jour là et les températures n’étaient pas très hautes. Ma mère m’a mit au monde dans cet appartement sans aide, toute seule, mon père travaillait pour avoir de quoi nous nourrir. Elle m’avait dit qu’elle avait souffert, tellement souffert, qu’elle avait presque abandonné. Pourtant, je suis bien là, en ce jour. « C’était difficile, mais dès que je t’ai vu …Ma douleur c’est transformé en joie. » ce sont les paroles qu’elle me disait, que j’étais son trésor et que j’étais ce qu’elle avait de plus précieux. Mon père se tuait à la tâche pour une maigre rémunération, mais mère restait à la maison pour s’occuper de moi et m’élever. Je n’allais pas à la maternelle comme tout les enfants de mon âge, mes parents n’avaient pas les moyens pour. Alors, je jouais dans le salon, avec mes voitures, trouvées sur un trottoir. Je jouais sans penser à autre chose, je ne fessais que jouer, j’étais sage, très sage. Mes parents étaient fiers de moi, ils étaient heureux de me présenter à leur voisin, aussi pauvre que nous. Ils criaient haut et fort, que leur fils aurait un très bon avenir et qu’ils feraient tout pour ça. Ils voulaient que j’ai un avenir glorieux, un avenir dans des quartiers chics, que j’ai une famille aussi heureuse que la notre …Heureux ? Non, ne nous étions pas heureux, je le savais. Mes parents ne pouvaient à peine manger à leur faim, mon père était ridés et cernés à un point qu’il semblait malade, très malade. Ils voulaient toujours montrés qu’ils étaient forts, qu’ils pouvaient surmontés tout et n’importe quoi, pourtant tout le monde le savait, ils étaient comme tout le monde, des êtres humains dont la nature n’a pas fait de cadeau. J’ai grandis dans cet appartement, en sortant quelques fois dehors pour prendre l’air, mais je restais enfermé entre ces quatre murs à jouer et jouer, sans relâche. Dans ces jeux je trouvais une forme de liberté et de joie, que je n’arrivais pas à ressentir avec mes parents. C’est ainsi qu’elle est arrivée dans ma vie. Cette petite chose si fragile, si douce et jolie. Elle était belle, même très belle. J’étais son ainé de deux ans et pourtant nos traits étaient semblables. Mes parents m’avaient donné une petite sœur, si douce et si fragile, qu’elle se casserait en milles morceaux si nous fessions un geste brusque. J’étais heureux, mais très inquiété. Nous étions trois et mes parents avaient déjà du mal à se nourrir comme allaient-ils faire ? Ma sœur avait besoin d’attention et d’une alimentation saine, comment avaient-ils pu créer un autre être humain ? Pourquoi souhaitaient-ils souffrir pour elle, alors qu’ils souffraient déjà, tellement, pour moi ? Je n’avais pas compris à ce moment, qu’ils étaient heureux d’avoir une famille et de ce sacrifié pour elle. Ma mère était épuisée après la naissance de ma sœur, à un point ou elle pouvait à peine parler. Mon père du prendre des congés pour s’occuper de la nouvelle arrivante et de moi, pendant que ma mère se reposait, c’est ainsi que les malheurs continuèrent à affluer dans ma vie. Ma sœur et moi avons grandit dans cet appartement, qui se délabrait au fils du temps. J’étais un enfant très réservés, je n’aimais pas aller jouer avec les autres, je préférais reste dans mon coin à jouer seul. La solitude était ma meilleure amie, elle était toujours avec moi et ne me quittait jamais, je pouvais tout lui dire, elle ne répétait jamais rien. Les institutrices s’inquiétaient pour moi, elles disaient à mes parents que si je continuais ainsi je serais rejeté par la société. La société, mes parents ils la connaissaient bien, elle était méprisables avec eux, alors elle le serait avec moi, c’était normal. Plus je grandissais, plus je devenais froid et distant avec mes parents et les quelques personnes qui s’accrochaient, désespérément, à moi. Je ne voulais personne au tour de moi, je voulais juste être seul, juste seul. La solitude était la seule personne que je voulais avec moi, c’était tout. Ma sœur grandissait bien, elle était de plus en plus jolie, elle était très sociable, mes parents étaient fiers d’elle, elle s’intégrait et s’adaptait très vite aux situations. Je travaillais très bien à l’école, mes résultats étaient très bons, mais je ne parlais jamais, j’étais au fond de la classe contre mon mur à écrire et dessiner, des êtres difformes. Un jour, à la récréation, en CM1 je me souviens, des garçons étaient venus perturber un des seuls moments précieux que j’ai avec ma meilleur amie, pour venir critiquer mon mode de vie. Ils disaient que j’étais un sale et pauvre banlieusard, que mes parents n’étaient que des bons à rien et que j’étais voué au même avenir. Solitude avait tenté de me retenir, mais cela avait été plus fort que moi, je mettais jeté sur mes camarades de classes pour leur fermer leur maudit caquet. Ma sœur était venu s’interposé, au début, mais c’était vite prit des coups de poings, dans son beau visage. Ma haine était tel, que je frappais sans vraiment y arriver. Pourtant, mes poings étaient amochés et mon camarade dans un sale état. Il avait perdus trois dents et avaient deux beaux coquarts, il avait hérité du surnom : panda. Ma sœur, ma très jolie sœur, avait la joue gonflée et des hématomes sur son pauvre petit corps. Son corps si fragile avait été touché par ces bêtes, ces monstres, ils avaient osés la frapper, frappe cette fille, si belle et si fragile. Depuis ce jour j’étais de plus en plus rejeté dans ma classe et de plus en plus seule avec ma solitude. J’en étais heureux, cela me suffisait, je n’avais besoin de rien d’autre.

Les années passaient paisiblement et ma situation était stable. Mes parents m’avaient offert une deuxième petite sœur, toute aussi douce que ma première. Elles avaient quart ans d’écart pourtant, elles avaient la même beauté, la même joie inscrite sur leur visage et la même fragilité. Elles étaient la fierté de mes parents, ils étaient heureux avec nous trois, ils trouvaient qu’ils formaient une magnifique famille, dans le fond je le pensais aussi, mais solitude me disait de rien dire et de garder cela pour moi. Malgré une situation familiale stable, mes relations avec le monde extérieur se dégradaient, je ne parlais à personne et je me contentais du minimum quand on m’adressait la parole. Les jeunes garçons de ma classe, venaient me voir et le crachaient toujours les mêmes insultes et les conséquences étaient toujours les mêmes, cela finissait en bagarre. Je commençais doucement à prendre goût à la violence et je me fessais respecter par mes petits camarades de classe. Mes parents s’inquiétaient pour mon avenir, qu’ils voyaient si beau le jour de ma naissance. Ils se demandaient si j’avais des problèmes, mais à quoi bon leur dire qu’on me traitait de pauvre et de saleté ? Cela ne servait à rien, juste à leur faire de la peine, inutilement. C’est ainsi que j’ai pris goût à la bagarre et que j’errais le soir dans les quartiers voisin, pour me battre avec les « gangs » voisins. Je trouvais ça amusant, jouissif, c’était comme si une sorte de liberté m’était offerte, je pouvais libérer toute mes souffrances et peine, sans que les autres le sachent. C’était comme avec mes voitures, elles ôtaient toutes mes peines sans que personne ne le sache.

Pourtant ma violence dépassait, de jour en jour, les limites des quartiers voisins. Je me battais même avec mes voisins de pallier. Mais surtout je commençais à devenir violent dans ma propre famille. Je n’arrivais plus à dialoguer avec eux sans m’énerver. « Calme-toi ! Arrête de faire peur à ta mère et tes sœurs ! Parle-nous de tes problèmes au lieu de t’énerver ! » et c’était le poing violement déposés sur la table que je répondais à cette phrase que mon père disait souvent. Après ça, j’entendais ma mère et mes sœurs pleurer, je m’en voulais. Mais, comment leur dire que je tenais à eux, alors que solitude m’avait toujours dit de garder ça en moi ? Je le disais qu’à elle. Mes violences avaient fait le tour des quartiers et j’étais devenu la bête noire des gangs et des voisins. Comment ferraient-ils si je m’énervais sur eux ? C’était la phrase que j’entendais le plus souvent. Je n’étais pas un monstre, juste une personne qui rechercher la reconnaissance pour ses véritables valeurs et non par sa situation familiale. À l’école, les professeurs avaient peur de moi et mes camarades aussi, à croire que j’étais devenu le plus grande tueur du pays.

Pourtant, comparer à CE jour-là, mes violence n’étaient rien. C’était ridicule. CE jour-là, ou ma vie a basculé, ou j’ai tout perdu en un rien de temps, que tout ce que j’avais construit c’était écroulé. Tout. Rien ne m’avait été laissé. Mes parents et mes sœurs étaient mort, dans cet appartement où j’avais vu le jour et où j’avais grandis. L’immeuble c’était effondrés et avait prit feu, seul mes voisins et mes parents étaient dans l’immeuble ce jour là. J’étais sortis faire des courses pour ma mère, mais entre temps des voyous des quartiers huppés de Séoul était venu me voir et fessaient leur malin, leur comptes avait était vite réglé. Pourtant quand j’étais arrivé, seul les débris et les flammes m’avaient accueilli. Les voisins étaient sous le choque et moi … moi ? J’étais là, planté, droit comme un I, les larmes coulant le long de mes joues. Les gens me regardaient, avec ce regard plein de pitié et de peine, mais je n’en voulais pas. Les parents, mes douces sœurs, ils étaient partis ils m’avaient laissé, j’étais seul … non, j’avais solitude avec moi, mais pourtant je me sentais terriblement seul, ce jour là. Bizarrement, malgré l’état défectueux des immeubles, ces derniers étaient loin de s’effondrés s’il y avait la moindre petit secousse, ils étaient même très solides. Les informations n’ont même pas parlé de cette affreuse nouvelle, ils préféraient de loin parler du nouveau groupe d’idole qui allait bientôt débuté et qu’il fallait impérativement suivre. Ce que j’ai pu les haïr ce jour là. Des idoles qui ce pavanes sur scène et qui ne font que du play-back, ils n’étaient rien, je venais de perdre mes parents dans une telle catastrophe et eux, ils parlaient que des ces girl’s et boy’s band, qui ne savent faire rien d’autre que de se trémousser sur une scène. Les jours qui suivirent, le corps de mes parents et de mes deux sœurs avaient été sortit, la plus jeune de mes sœurs avait survécu mais elle est morte sur le trajet de l’hôpital. L’autre corps de mon autre sœur n’avait pas été retrouvé, certainement avait-il été brûlé. C’est ainsi qu’un mois avant mon anniversaire, j’érigeais les tombes de ma famille, que j’enterrais les êtres les plus chers au monde, que ma vie venait de prendre une tournure différente de ce qu’elle devait être. Peu de jour après des promoteurs immobiliers étaient venus sur les lieux du drame et sans un mot, ils avaient touché et enlever des briques et des bloque de bétons, pour toucher le sol et les fondations. Ils regardaient les voisins avec un regard hautain et plein d’incompréhension. Ils touchaient à mon chez moi, aux seules choses qui reste de ma vie passée, comment pouvaient-ils faire ça ? Je m’étais rendu vers eux et les seules choses que j’avais pu faire après ses paroles c’est tabassés ces deux personnes qui n’avaient pas de cœur. « Ce que nous fessons ? Nous déblayions, le chantier pourquoi ? Nous avons acheté ce terrain il y a plus de trois mois, de nouvelles constructions étaient prévues. Donc nous avons fait sauter le bâtiment. » Ils avaient tués mes parents, ils avaient assassiné ma famille, pourtant, là encore personne n’avait rien dit à la télé, ce meurtre n’avait fait aucun bruit.

Depuis ce jour, je travail d’arrache pied, pour ôter la vie de ces personnes qui n’ont aucunement le droit de vivre. Ils vivent pleinement du bonheur familial, alors qu’ils ont enlevé le mien. J’étudie jour et nuit pour me dresser devant eux et leur tirer une balle dans la tête, c’est le seul but dans ma vie : venger mes proches. Mais avant de faire cela, je dois me trouver une couverture, une bonne couverture qui ne pourrait jamais me trahir. Aujourd’hui je suis étudiant en troisième année du Génie Microbiologique, mon seul but détruire ces hommes grâce à une science microscopique. Les faire souffrir, et leur montrer que la vie humaine n’est pas un simple paquet de mouchoir.



Physiquement ? Je suis beau et je ne veux pas mentir. Mes parents et mes sœurs étaient des êtres avec une beauté incomparable, j’ai eu la chance d’hériter des traits des mes défunts parents, je suis l’exacte portrait de mon père. Je suis de taille moyenne, 1m78… Je ne me vois pas plus grand, ni plus petit, à croire que je suis content de ce que j’ai … De toutes les façons c’est la seule chose qu’il me reste de ma vie passée. Mon poids ? Je peux vous le dire 60kg … Récemment, je ne mange plus pour diverses raisons et j’ai perdu beaucoup de kilos, mon physique en a prit un coup, les médecins me demande de manger plus, mais ni la force, ni l’envi arrive à me faire avaler quoi que ce soit. Je suis têtu, alors même des avis médicaux ne m’aiderons pas à avaler plus. Je suis très calme, depuis CE jour, j’ai appris la patience et la gratitude. La patience à traiter les essais les plus délicats et les expériences les plus dangereuses. Contre les hommes que j’ai vaincu plus jeune, je n’ai aucune pitié, je peux être impulsif et violent, mais cette haine à besoin de s’extérioriser. J’aimerai apprendre ce qu’est l’amitié et l’amour, mais ma vie ne me permet pas de connaitre toutes ces bonnes choses, solitude me dit qu’un jour j’aurai la chance de goûter à ça et que je serais l’homme le plus heureux du monde, mais … Je serais heureux que quand je serais de nouveau avec mes parents. Mon passé me ronge petit à petit et détruit mon existence chaque jour, mon seul et unique but c’est de tuer les assassins de mes parents, c’est pour ça que je suis resté en vie, c’est pour seulement ça que je m’accroche désespérément à cette misérable existence.

Je suis dépressif comme ce n’est pas permis, pendant des périodes. Je suis renfermé sur moi-même et j’ai du mal à communiquer avec les autres. Je ne parle pas beaucoup en présence des autres, mais quand j’ai quelque chose à dire, mes nerfs réagissent avant ma raison et clament haut et fort mes pensées sur ce « putain de monde ». Je ne suis pas timide, mais je n’arrive pas à trouver un réel intérêt à la vie, car après que mon but soit accomplit je ne serais plus.

● Prénom/Pseudo;; Hangover ;P ● Âge;;~ ● Sexe;; Je pense que c’est féminin’_’ ● Localisation;; Genève ● Possibilité de connexion; */7 ● Nb de ligne en RP;;Selon l’inspiration ● Comment connaissez-vous le fow;; J’y suis déjà ● Un dernier mot;; Le code : (j'espère l'avoir en entier TT) Validé par Bananaman