- FEAT - Park Gyuri (KARA) Poste vacant : oui

21 ans ● Né(e) à Kyoto le 19/08/1990 ● Ne travail pas actuellement ● Étudiante de deuxième année en mannequinat ● Célibataire ● Hétérosexuelle ● Twaelpyeol Students ~ models addictions un tattoo dans le bas du dos, représentant deux roses entrelacées qu'elle transforma légèrement il y a quelque temps. l'une d'entre elle devint jaune, représentant le mensonge de son passé, et la seconde devenue rouge significatif de la blessure qu'elle provoqua suite à ses mensonges et fourberies indignes d'une amie... ● aucun piercings ● n'apprécie pas particulièrement le goût de l'alcool, consommant de manière très rare ● déteste les drogues autant que le tabac, de même pour les personnes en consommant ●

Une telle demoiselle, aussi rayonnante et souriante, naquit à Kyoto, en plein coeur de l'île au soleil levant, là où chaque journée s'avère plus brillante que la précédente. Là-bas, la pauvre vécut un véritable enfer digne de ce nom, et ce, en compagnie de sa famille. Oui, la famille au sein de laquelle elle vit le jour n'était aucunement comme les autres, voir même complètement différente de toutes les autres présentes en ce monde. Étant fille unique, elle commit l'erreur de croire que ses parents la chériraient, ferait d'elle une jeune fille choyée et gâtée comme personne ne l'aurait cru possible ou imaginable. Malheureusement, tel fut son erreur. À son humble avis, une existence d'enfant unique devrait être similaire à un monde de merveille et de bonheur perpétuel. Cependant, ô grand damné de la jeune demoiselle, les choses étaient complètement différentes. Malgré l'absence totale de problèmes financiers, de complications familiales, les deux adultes possédaient des règles des plus strictes et incontournables. En effet, la petite Shizuka était dans l'obligation d'obéir au doigt et à l'oeil aux moindres consignes ou ordres. Ce qui réduisit son existence à une quelconque comparaison de l'esclavage infantile... Peut-être un peu exagérée pour l'avis de certains, mais tel était la façon dont la demoiselle voyait les choses... Devoir obéir, supporter les douleurs incessantes des cris sur elle, de la voix augmentant à petit feu tandis qu'elle tentait de diminuer sa taille corporelle jusqu'à devenir que poussière. Tous ces moments horribles... Elle n'en pouvait plus, elle ne voulait que vivre heureuse, entourée de gens qui l'apprécierait à sa juste valeur, sans que ceux-ci doivent crier continuellement, devoir ordonner sans arrêt la moindre chose. Shizu ne voulait que liberté et paix... Toutefois, la situation réelle était totalement différente.

Néanmoins, ne broyant pas constamment du noir, la demoiselle découvrit une nouvelle facette à la vie lors de son entrée au sein d'une bâtisse d'éducation. Là, elle découvrit que ses géniteurs avaient tord sur le monde, qu'elle était amplement en mesure d'avancer d'elle-même, ne serait-ce que quelques fois par semaine, loin d'eux, de pouvoir agir comme elle le voulait sans risquer une quelconque réprimande. Dès le début de sa scolarité, Shizuka développa également un sens pour la justice, pour le respect d'autrui, et ce, en quelque sorte, grâce à l'éducation acharnée de ses deux parents. Oui, il n'y avait pas que du négatif avec eux, mais il dominait tout le reste... Eux, il n'avait qu'instruit la demoiselle, priant pour qu'elle ne soit pas un aimant à problème comme ils avaient peur qu'elle le devienne... Toutefois, elle resta la même caractériellement parlant, agissant simplement plus impulsivement, ne tenant que rarement compte des possibles conséquences qui suivraient un acte. Elle se sentait enfin libre, n'ayant guère de problème avec ses proches. Gardant une certaine crainte de ses parents refoulés en elle, la demoiselle resta fidèle à la moindre parole en leur provenance, ne voulant subir aucune conséquence grave face à une quelconque désobéissance. De ce fait, son existence entière finirait par être gouverner la peur, la crainte, la frayeur, l'obéissance, l'incapacité de créer une rébellion... Par chance, elle arriva à profiter du peu de liberté qu'elle posséda, se créant des liens solides avec plusieurs personnes, mais rien n'arrivera à la cheville de cette relation de complicité, de confiance et de reconnaissance qu'unissaient Shizuka et une certaine demoiselle, Ema. Les deux étaient des meilleures amies à cette époque, passant de nombreux moments ensemble, rigolant, profitant du peu de temps de liberté que Shizu possédait... Elle était celle qui sauva la pauvre demoiselle. Sans elle, la passionnée de mannequinat n'aurait jamais été celle qu'elle devint, et ce, sans tenir compte des côtés sombres de cette dernière...

Un soir, alors que Shizuka déambulait dans les rues, suivant discrètement un jeune homme qu'elle admirait pour de nombreuses raisons, agissant telle une véritable stalkers digne de ce nom, elle resta silencieuse. À partir du moment où elle l'aperçut auprès de sadite meilleure amie, cette précieuse Ema, Shizu ressentit une irrépressible envie d'immortaliser le moment. Sortant son portable du fond de sa poche, elle prit leur proximité en photo, gardant précieusement cette photo avec elle. En effet, bien qu'elle soit gentille et adorable en surface, elle semble posséder un caractère de peste, hypocrite... C'est bien pour cette raison qu'elle garda la photo, et décida de ruiner l'existence de sa meilleure amie, bien qu'à l'origine, elle ne voulait que séparer les deux jeunes. Après tout, elle y arriva, mais provoqua également le départ d'Ema... Shizuka cria sur tous les toits que sa meilleure amie trompait l'homme avec lequel elle était fiancée, qu'elle ne craignait aucunement d'être découverte vu l'absence de subtilité dont elle faisait preuve. Usant de la photo présente sur son portable, Shizu détruisit la réputation d'Ema, ces relations... Tout. Par de simples paroles accompagnées d'une photo, elle détruisit l'existence de celle qu'elle disait être sa meilleure amie. Était-ce là un comportement digne d'une amie, de véritable amie en qui elle avait eu confiance? Bien au contraire... Pourtant, telle était Shizuka. Refoulant sans cesse les mauvais moments en famille, incapable de s'exprimer auprès d'eux sans risquer d'en subir physiquement les conséquences, elle vidait sa colère ailleurs. Et Ema en fut victime...

Quelque temps plus tard, alors qu'une certaine culpabilité rongeait le corps et l'âme de la demoiselle, elle eut la brillante idée de sortir. Elle savait que, déambuler dans les rues de Kyoto la nuit alors que personne n'est dehors est dangereux, qu'une ombre pourrait surgir et faire souffrir la demoiselle. Malgré tout, elle se faufila silencieusement par la porte, alors que ses géniteurs dormaient déjà, espérant pouvoir se changer les pensées d'une quelconque manière. Suite au départ d'Ema, Shizu ne possédait plus personne avec qui parler, auprès de qui se sentir normale, libre de ses géniteurs. Et ce départ hâtif, elle en était la seule et unique coupable, d'où cette culpabilité grandissante, cette envie de s'excuser, de vouloir se faire pardonner, bien que se soit impossible. Circulant seule dans les rues de la ville, l'esprit ailleurs, ne tenant aucunement connaissance de ce qui l'entourait, la demoiselle ne put éviter l'homme devant elle, le percutant violemment. Relevant la tête, désirant se faire pardonner, elle s'exécuta et voulut poursuivre son chemin... Toutefois, l'homme inconnu l'attrapa par le bras avec puissance, ce qui la fit souffrir un peu, et la retourna. Son regard était froid, dépourvu de toutes émotions, tétanisant la demoiselle sur place, incapable de bouger le moindre muscle. Quelques mots franchir alors les lèvres de l'inconnu... Il disait avoir besoin de plus que de plates excuses...

Ce soir-là, Shizuka perdit sa vertu, ce qu'elle voulait réserver pour plus tard, elle le perdit au sein d'une sombre et glaciale ruelle de Kyoto, auprès d'un inconnu qui l'empêchait de crier afin d'attirer l'attention des rares passants. Ce soir-là, la pauvre se fit agresser physiquement, puis agresser sexuellement... La pire nuit de toute sa vie.

Lorsqu'elle arriva enfin à rentrer à son domicile, le soleil se levait tranquillement, ce qui signifiait que ses parents étaient debout depuis peu. N'ayant aucun autre moyen pour retourner à sa chambre que d'entrer par la porte principale, elle tomba nez à nez avec sa génitrice, qui posa sur elle un regard horrifié. Celle-ci crut que sa fille unique avait eu des problèmes, mais pas ceux qu'elle avait réellement eus. Lorsque son père aperçut Shizu à son tour... Les deux adultes se mirent à crier sur elle, ne la laissant guère placer le moindre mot, sans lui laisser l'occasion de s'expliquer, de justifier les marques qui remplissait son corps, les larmes qui ruisselaient sans cesse sur ses joues rougies par le sang... Enfermée dans sa chambre pour une durée de temps indéterminée, la demoiselle perdit toute confiance en son entourage, autant familial que les autres. Suite à ce viol, elle ne fut plus jamais la même personne. Devenant encore plus peste et hypocrite qu'elle ne pourra jamais l'être, ressentant malgré tout, une légère culpabilité suite aux événements avec Ema. Après tout, si elle ne l'avait pas fait fuir, elle n'aurait pas eu à sortir cette nuit-là, et elle aurait pu s'en sortir sans problème... Tout était de sa faute, à elle...

L'année suivante, elle fut acceptée au sein d'une prestigieuse école à Séoul, où elle pourrait vivre différemment. Là-bas, elle pourra tenter de refaire son existence, d'oublier les événements du passé et aller de l'avant. Malheureusement, le tout s'annonce bien plus complexe qu'elle n'oserait le croire. Des fantômes de son passé errent désormais dans les mêmes couloirs qu'elle, ou simplement dans les mêmes rues qu'elle... Priant pour ne jamais tomber face avec une personne connue à Kyoto, Shizuka tentera de changer, de redevenir une aimable et adorable demoiselle, et ce, malgré son passé lourd...

Ayant une mère d'origine coréenne et un père japonais, la jeune demoiselle hérita du métissage des deux origines. Tout comme sa mère, Shizuka possède une peau douce, claire, tirant sur le blanc au lieu du teint commun aux autres. Parfois, cela donne l'impression que cette demoiselle est comme une poupée de porcelaine. Fragile, nécessitant de grandes précautions lorsqu'il s'agit de l'approcher ou de la manipuler. D'un certain côté, c'est bien vrai. Cependant, ce n'est pas elle qui en ressortira briser, au contraire, mais bien celle ou celui qui l'approchera de la mauvaise façon, du moins, désormais. D'ailleurs, ce teint si pâle permet à son regard de paraître plus intense, plus profond. Ses yeux, formés d'un mélange de bleu foncé et marron, permettaient de ressentir une certaine profondeur, voir incompréhension face à ce regard qui est contraire à son être. Étrangement, lorsque l'envie de pleurer lui prend, sentant ses yeux devenir de plus en plus humide, son cœur se serré, il semblerait que son regard devient plus intense, plus clair. Entre autres, même si les larmes ne ruissellent pas, l'être devant elle risque fortement de comprendre, à moins qu'il ignore le comportement habituel de cette demoiselle. Ce doux visage est accompagné d'une longue chevelure blonde, bouclant légèrement à son naturel. Pour le reste de son corps, elle s'avère être plutôt mince, digne d'un corps de mannequin. Agrémenté de forme bien fournie pour une jeune demoiselle.


Pour ce qui est de son attitude face aux gens, cela dépend souvent de qui se trouve devant elle. Cependant, de nombreux traits ne changeront jamais, telles les peurs. Il n'y a qu'une seule et unique chose qui l'effraie plus que tout. La perte des êtres chers... Malgré son passé assez sombre sur ce point, aujourd'hui, cela est devenu sa plus grande peur. Vivant à Séoul, Shizu tente de trouver des gens avec qui elle ose espérer bien s'entendre. Peut-être arrivera-telle à trouver un entourage digne de ce nom, qui ne lui viendra pas à l'esprit de les trahir, de manipuler, de mentir ou autre... Bien qu'elle tente d'effacer les événements du passé, il s'avère que son esprit ne collabore aucunement. Avoir perdu Ema, celle qu'elle croyait sa meilleure amie, malgré que Shizuka soit la seule à blâmer de son départ, d'être incapable de ne faire pleinement confiance à aucun être en ce bas monde, devoir franchir les étapes de la vie dans la solitude et l'ennui... La pauvre est endommagée suite à tout cela. Toutefois, elle n'osera jamais le montrer, à qui que ce soit. Son petit jardin secret...

En dépit de cette montagne de mauvais côté qui domine sur son être, la demoiselle possède une facette qui restera à jamais adorable et digne de l'éducation transmise par ses géniteurs. Soignée, polie et franche depuis toujours, elle ne pourra jamais se débarrasser de cet aspect de sa personnalité, bien qu'elle le souhaiterait. Après tout, ce côté d'elle lui rappelle constamment l'enfer qu'elle traversa afin de devenir la personne qu'elle est aujourd'hui. Elle est fière d'elle, bien entendu. Néanmoins, son passé... Elle aurait tout fait pour qu'il soit différent, pour qu'elle soit différente à cette époque... Égocentrique, attachant, rêveuse, extravertie, jalouse, possessive et impitoyable... Des mots, expressions que ses parents ne cessaient d'utiliser pour la décrire, critiquant chaque aspect de leur fille unique. Encore aujourd'hui, la jeune étudiante ne comprend aucunement l'attitude de sa famille à son égard. N'était-elle pas digne, respectable et bien éduquée? À son humble avis... Sa famille ne cesse de se leurrer devant elle, ne voulant guère perdre leur attitude froide et distante avec elle... Peut-être que, si elle avait eu le courage, voir le temps d'expliquer les événements de cette horrible nuit, celle qui détruisa son existence tout entière... Peut-être auraient-ils compris, acceptant que leurs attitudes respectives fussent horribles, indignes de parents? Sans cesse, cette pensée erre dans l'esprit de la demoiselle... Un jour, peut-être, trouvera tel le courage de dire l'entière vérité à ses géniteurs... Dans de nombreuses années...

● Prénom/Pseudo;; sweetness ● Âge;; 18 ans ● Sexe;; F ● Localisation;; Québec ● Possibilité de connexion; 6-7/7 ● Nb de ligne en RP;; Ahem... Beaucoup ? Disons une centaine peut-être ? *pan* ● Comment connaissez-vous le fow;; pour une nouvelle fois, j'y reviens. ● Un dernier mot;; ne me taper pas d'avoir disparu encore... T.T je m'en veux à mourir ~ validé by Reona