Prend la vie comme elle vient
- FEAT - Soo/Soo Kyung Poste vacant : oui/non | 21 ans ● Née à Tokyo le 10/03/1991 ● Métier : Barmaid ● Études : Medecine [En pause] ● Statut Marital : Compliqué ● Sexualité : Hétérosexuel ● Groupe
addictions Tatouages : Deux, un au pied et un autre sur les reins ● Piercings : Plusieurs aux oreilles ● Alcool : Tiens très bien ● Drogue : N’y touche plus, ou très rarement ● Autres |
my story
Tokyo – 10 mars 1991.Des bruits de cri provenaient du fond du couloir. Il marchait vite, très vite. De toutes évidences, personne ne l’avait prévenu et il s’en voulait, à déduire de son expression. Il marchait si vite, que ses poumons avaient du mal à suivre la cadence. Il regardait la porte, une fois arrivé, et il pensa. Ah, dès qu’il passerait cette porte son monde allait changer. Pourquoi hésiter ? Il ne savait pas. Il avait prit la porte et les cris avaient redoublés. C’était des horribles cris, ils perçaient les oreilles, mais pourtant ses yeux étaient remplis de larme.
C’était une fille. Une petite fille.
C’est ainsi que mes parents me nommèrent Hakujitsu Yüya, petite japonaise de quelques heures, qui pourtant avait un futur déjà bien tracé. Mais pourtant ce jour là, mes parents avaient été, très heureux. Malgré que je venais de naitre et que mes premiers instants de ce monde avaient été douloureux, j’avais ressentit tout l’amour de mes parents à mon égare – chose qu’ils me donnent encore, mais différemment.
J’étais loin d’imaginer que ma vie au seins de cette famille allait être si difficile, compliqué, mais aussi douce et amusante. Mes parents tenaient tout les deux de très grandes familles japonaise, premièrement noble mais aussi propriétaire de grandes entreprises mondiales. Donc, dès mes premiers pas je fus formée à l’étiquette des nobles japonais, chose pas très simple à assimiler pour une enfant.
Quelques années après.J’étais assise sur le banc au milieu du jardin. Je regardais les oiseaux voler, libre de leur choix et de leurs actions. Ils fessaient ce qu’ils voulaient quand bon leur semblait, personne n’était là pour les réprimander ou les gronder. La liberté devait être quelque chose de magnifique et de magique. Faire ce que vous vouliez quand vous le souhaitiez, le bonheur, en un mot. Le ciel était bleu, aucun nuage n’était présent et une douce brise d’air frais fessait vibrer les branches des arbres. C’était calme, très calme, jusqu’au moment ou ma très chère grand-mère ouvrit la bouche. Je devais déjà rentrée pour continuer mes cours de langues et de musique traditionnelle, car en digne descendante des Hakujitsu j’étais dans l’obligation de savoir et maitriser beaucoup de chose, en clair passer une enfant merdique – et c’est le cas. Donc, après les réprimandes de ma grand-mère sur le fait que rêver et traîner ne servait à rien, je repris le cours de mes études, avec mes professeurs, sous l’œil attentif de ma gardienne.
C’est ainsi qu’à l’âge de 8 ans, j’avais le droit au discourt : « Dans quelques années tu vas reprendre l’entreprise de ton père, tu te dois d’être une femme responsables et droite ; Je ne tolérerais pas tes écarts de conduite, ainsi que tes mauvaises notes, tu te dois d’être la fierté de tes parents, ainsi que celle de la famille. Ta cousine voulait travailler dans le divertissement, mais elle a fait le bon choix de reprendre l’entreprise de sa mère, la famille est beaucoup plus important que nos souhaits personnels, nous devons accomplir les ambitions de nos familles avant les nôtres. Retient bien ces mots : Sans notre famille, nous ne sommes rien. Je suis sur qu’elle ne regrette pas son choix, de toutes les façons je ne lui aurais pas autorisé à travailler dans ce monde de guignol. » En autres mots, ma grand-mère –et une bonne partie de ma famille- dirigeait les ambitions de nous, les jeunes arrivés. C’est ainsi que ma très chère grand-mère m’avait fait des propositions, assez alléchante : Médecin, avocat, politicienne ou encore femme d’affaire. Je n’avais le choix qu’entre ses perspectives d’avenir, et que je n’essais même pas de me tourner vers autre chose, sinon grand dieu ma vie risquerait de prendre fin. Mais bizarrement, je ne voulais pas faire ça, non je n’avais pas envie. Je voulais vivre comme les oiseaux, être libre de mes mouvements et c’est tout, point.
Adolescence. Rebelle. Je m’étais rebellée à plusieurs reprises contre ses traditions merdiques qui n’avaient plus lieu d’être et que le choix de notre vie nous appartenais et que les autres n’avait pas leur mot à dire. Mais les corrections avaient été dures, très dures. Ma grand-mère n’y allait pas de main morte sur les coups de fouets ou de pantoufles – autant vous dire que cela fait mal, très mal. Pourtant, je n’ai pas abandonné, je continuais à leur faire savoir que je ne voulais pas travailler dans ses domaines. Mais je du me résigner quand ma tante mourut dans un terrible accident de voiture. Ma tante croyait dur comme fer que les anciennes traditions ne devaient pas être enlevées et que les enfants devaient s’y plier. Ma grand-mère disait alors que j’étais responsable de la mort d’une de ses filles, alors qu’au final ce n’était qu’une excuse pour cacher la vérité, se noyer dans l’alcool et en mourir ce n’était pas de ma faute. Ce jour-là, elle avait beaucoup bu et avait prit le volant et l’accident avait été d’une rare violence, le corps de ma tante n’avait été retrouvé qu’à moitié, donc autant vous dire que la boucherie à côté c’était une partie de plaisir. Déjà que mes choix été restreins, ils venaient complètement de disparaitre, ils avaient décidés pour moi, se serait médecine, pour me faire pardonner au près de ma tante. J’ai du m’y plier et travailler d’arrache pied, sinon j’allais subir les réprimandes de ma famille. Mais malgré que je me plie à leur exigence, je fessais régulièrement le mur histoire d’avoir une vie normale. C’est ainsi que j’ai connu la joie d’avoir des amies, boire, rencontrer, expérimenter les garçons ainsi que les joies de chose pas très légales. J’ai pris aussi des cours de guitare en parallèle de mes études secondaires, en secret de ma famille, qui croyait que j’allais à la bibliothèque m’informer sur la musique traditionnelle. Pourtant mon stratagème – qui avait duré 2 ans – était tombé à l’eau et je m’étais fait battre comme jamais, à croire que vivre comme on le voulait été vraiment proscrit dans ma famille. Ainsi j’avais un cadenas sur ma porte pour éviter que je sorte la nuit et le jour quand je devais étudier les choses que ma grand-mère me donnait à faire. Bref, j’étais prisonnière.
Et mes parents dans tout ça ? Hein ? Ils ne disaient rien et se laissaient intimider par ma grand-mère et ma famille. Ils n’avaient pas le choix, mes parents avaient vécu la même chose que moi, mais ils ne pouvaient pas « combattre » ma grand-mère et son armée, autrement dit ma famille. Donc c’est ainsi que j’ai été première de ma classe durant toutes mes années de secondaire et mes autres année d’études et que je fus accepté dans une école prestigieuse pour apprendre la médecine, mais je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds. J’avais –à mon goût- trop sacrifié de chose pour la seule reconnaissance de ma grand-mère, alors il était temps que je prenne mes propres choix et que j’en assume la responsabilité.
Aujourd’hui.Je travail en temps que barmaid dans un bar branché de Séoul. J’ai quitté le Japon, mais aussi Todaï grande école japonaise ou ils m’avaient enfermé pour que je suive des études de médecine. Je suis partie pour la Corée, suivant mon meilleur ami qui lui aussi avait décidé de suivre ses études en Corée, mais pour les même raisons que moi. Je voulais partir loin de ma famille et des problèmes que j’avais eut là-bas. Autant vous dire que je sais que sortir avec des célébrités ce n’est pas de tout repos et qu’elles sont totalement différentes de ce que vous voyiez à la télé. Et autant vous dire qu’elles arrivent à vous faire drôlement souffrir. J’ai eu la chance –et le malheur- d’être la petite amie de Ryo, ex-membre de New, un boy band du Japon, avec qui j’ai vécu de magnifique moment, mais à cause de qui j’ai faillit perdre la vie. Heureusement mon meilleur ami était là pour me sauver et me faire comprendre que mon acte avait été débile, très débile. C’est ainsi que j’avais décidé de quitter ma famille, et par la même occasion de briser leur rêve d’avoir un médecin dans la famille et de vivre mon propre rêve. Autant vous dire que mon porte monnaie à souffert, car l’argent de poche de mamie n’affluait plus, mais plus du tout, elle avait décidé de couper les ponts. Mais quelques temps après, ma mère avait déposé une grosse somme d’argent sur mon compte bancaire, à l’insu de ma grand-mère je suppose et le donne régulièrement de l’argent, de grosse somme d’argent, pour que je vive bien.
J’ai mit mes études de médecine en pause – car mine de rien c’est de très bonnes études- pour me consacrer à ma véritable passion la guitare et la composition, même si chanter ce n’est pas mon fort, voir même une véritable catastrophe ambulante, j’adore composer.
Je m’étais aussi promis d’arrêter les garçons et pourtant j’ai toujours cette manie de me mettre dans des situations avec eux … enfin bref, voyons maintenant ce que l’avenir nous réserve !
i am...
Pour
une japonaise, je
ressemble plus à une coréenne, donc je passe inaperçu dans les rues de Séoul, qui plus est
je parle couramment la langue ce qui me fait passer pour
une véritable coréenne. Les seules
choses qui trahissent ma véritables origines sont mes
manières anciennes à la japonaise. Même si je n’avais pas
les leçons de ma grand-mère concernant ce sujet, je
profite dorénavant de ces effets, je sais être
calme et
posée et
analyser les choses, quand elles arrivent. En contre partie je garde un bout de
ma rébellion quand j’étais jeune,
je ne supporte pas qu’on s’en prenne à mes amis, ils représentent
tout ce que j’ai et même si cela peut surprendre
je déteste qu’on dise du mal de ma famille, ont peu la critiquer mais en dire du mal,
c’est de la méchanceté gratuite. Je suis
taillé comme un mannequin, c’est du
au sport intensif que j’ai eut
quand j’étais jeune, autant vous dire que ma grand-mère voulait que je sois grande et fine, pour être une
jolie jeune femme qu’elle pourrait
marier à un étranger. Bah oui autant ouvrir de nouvelles portes dans le domaine des affaires.
J’ai les
cheveux roux et
naturelle et
les yeux clairs, je suis la seul de ma famille à avoir des yeux clairs, peut-être que ma mère est allée voir ailleurs … bref ! J’ai
deux tatouages, qui n’ont pas plus à ma grand-mère, un au pied droit qui représente une clé de sol et un autre sur les reins plus complexe.
Je
sais me battre, contre tous.
Les humains et les sentiments. Je suis
déterminé à réaliser
mon rêve et
à vivre ma vie comme je l’entends. Je
n’abandonne très rarement et je sais
prendre la vie comme elle vient et
prendre les bonnes décisions, même dans ma vie j’ai fais des mauvais choix.me, i & myself
| ● Prénom/Pseudo;; Hangover ● Âge;; 18 y.o ● Sexe;; H ● Localisation;; Geneva ● Possibilité de connexion; ?/7 ● Nb de ligne en RP;; Aucunes idées. ● Comment connaissez-vous le fow;; Haha *sors* ● Un dernier mot;; Design T.O.P ! Ainsi que : Validé par le plus beau ~ |