- FEAT - Lee Min Young Poste vacant : oui

21 ans ● Né(e) à Tokya le 10/09/1991 ● Métiers : En congé maternité ● Études : Mise en suspend de ses études pour sa grossesse à risque ● Mariée à Seo Jung Wan ♥ ● Hétérosexuel ● Séoulite ? addictions Tatouages aucun ● Piercings : juste aux oreilles ● Alcool : plus depuis 8 mois ● Drogue : Jamais touchée ● Autres : Enceinte de presque 8 mois

Ohayo ! Je m’appelle Risa Aikawa, mon doux prénom me vient de la Mona Lisa de Léonard de Vinci, peu commun me direz-vous, mais c’est ce qui fait que le charme de mon prénom. Depuis toute petite mes parents nous ont transmis à mon frère et moi, leur passion pour l’art. Enfin … surtout à moi à vrai dire. Ils nous faisaient voyager, rêver, à travers tous les pays des continents. Petite je me prenais pour une exploratrice découvrant le monde pour la première fois. J’étais subjuguée par ses merveilles, par ses secrets et sa beauté à couper le souffle. Un rien me mettait en joie et chaque petite trouvaille m’apparaissait comme le plus beau trésor du monde. Je découvrais ce qui m’entourait avec innocence et une candeur qui savait rendre une chose simple magnifique. Je sais que mes parents adoraient voir ce sourire sur mes lèvres et c’est sûrement ce qui les a poussé à continuer leur tour du monde au grand dam de mon frère. Cette vie sans attache semblait lui peser un peu plus chaque jour, et j’avais peur de le voir s’éloigner de moi d’un coup. Alors à chaque moment que nous passions tous les deux je cherchais à le faire rire, à le rendre heureux, à partager ce que je ressentais avec lui, tentais de lui donner un peu de cette magie qui me gagnait. J’étais proche de mon frère, vraiment proche, l’un des êtres les plus cher à mon cœur. J’avais l’impression de le connaitre par cœur, de savoir l’aider peu importe la situation. Mais les gens grandissent, les gens changent … et nous n’avons pas échappé à la règle.

Il est finalement partit vivre à Kyoto pour y faire ses études et il m’a laissé avec papa et maman. Et pire, il a coupé les ponts. Surement à vouloir les punir de leur égoïsme pendant notre enfance, il s’est à son tour égoïstement détourné d’eux en me laissant toute seule. Oh bien sûr il continuait de m’envoyer des sms, de m’appeler mais j’étais censé agir comment hein ? Son départ me faisait mal, sa façon d’agir aussi. Alors j’ai voulu lui rendre la pareille. Et je me suis à mon tour détournée de lui. Je voulais lui rendre ce qu’il faisait subir à papa et maman. Je ne devais pas savoir le fin mot de cette histoire, ni la version complète mais … mais il n’avait pas eu le droit de faire ça, tout simplement. Et mon caractère buté n’arrangeait en rien les choses. Heureusement j’avais Jung Wan avec moi pour me soutenir. Mon meilleur ami, toujours là quand il fallait. Certes son caractère n’est pas des plus doux et c’est vrai que nous nous engueulions parfois, souvent même, mais l’amitié que nous partagions à l’époque et de celle qui ne se brise jamais. Jamais.

Finalement après plus d’un an, j’ai trouvé ma mère en pleure dans le salon. Bouleversée et incapable de prononcer le moindre. Jamais je ne l’avais vu dans un tel état, sauf peut-être après le départ de Reona et ça me faisait mal de la voir comme ça. J’étais furieuse contre mon frère, de voir ce qu’il lui faisait subir … toute fois mon amertume et ma colère s’apaisèrent quand je compris que c’était des larmes de joies qui coulaient sur le visage de ma mère. Un sourire radieux comme je croyais disparut à jamais de son visage. Reona. Oui, toujours la cause de ses larmes, mais aussi de cette joie que je voyais dans le regard de ma tendre okasan. Elle venait de retrouver son fils, son bébé, sa partie d’elle qui lui manquait depuis tellement de temps … J’aurais pu pardonner à mon frère mais je gardais en moi une rancœur tenace. Le chemin pour retrouver notre complicité allez être bien long … mais au moins nous y étions engagé.

Finalement je décidais à mon tour de partir pour Séoul, y entraîner mon accent désastreux et suivre Jung Wan qui avait quitté le japon. Je ne pensais pas que ma vie aurait autant changé en débarquant au pays du soleil couchant. Je croisais des personnes que je n’avais pas envie de voir, d’autres avec qui j’aurais voulu rester des heures entières et finalement … Finalement je l’ai revu, mon frère, mon grand frère et quand bien même je ne lui ai pas avoué, il m’avait manqué, terriblement manqué et le revoir me fit un coup au cœur bien plus important, beaucoup plus fort que je ne l’aurais cru … Mais quelque chose me retenait, quelque chose me bloquait … sûrement de le voir si … heureux avec Junko. Junko, rien que la prononciation de ce nom me donne la chair de poule. Je ne l’aime pas, pas vraiment, pas beaucoup. Elle représente tout ce que je ne veux pas voir. Celle qui a brisé le cœur de mon frère, celle qui l’a détruit alors que j’étais impuissante face à sa douleur … Celle qui fut le premier amour de Jung Wan … Celle qui représente tellement pour les deux hommes que j’aime le plus au monde. Je ne sais pas si c’est de la jalousie et/ ou une colère mal venue mais j’ai toujours eu du mal avec elle … et encore plus aujourd’hui, mais pour ne pas perdre ceux que j’aime je fais un effort et tente au moins de ne plus l’agresser quand je la vois …

C’est vrai que je ne suis pas vraiment effrayante avec ma carrure frêle, mais j’ai un caractère si trempé que je ne laisse personne me marcher sur les pieds. Et quand j’ai quelque chose à dire, je le dis, parfois à tort. Doucement je recommençais à me rapprocher de mon frère, doucement je continuais de me rapprocher de Jung Wan. Et l’entente fragile qui régnait autour de moi vola en éclat cette nuit-là … Je ne la regrette pas … Je crois que je ne l’ai jamais regretté quand bien même j’étais au plus bas. Après une soirée alcoolisé j’ai laissé mes sentiments s’exprimer avec trop de franchise, trop de passion et je me suis réveillée dans ses bras … Je me suis réveillée nue contre lui, je me suis réveillée mariée à lui. Oui mariée. Et je dois avouer que sur le coup j’ai mal réagis. Un peu trop violement, par pudeur, par peur, qu’il fasse tout pour annuler ce mariage. Parce que malgré tout, au plus profond de moi je savais que j’aimais Jung Wan, je l’aimais bien plus que n’importe qui. Et même si nous avions fait les choses à l’envers, j’étais contente de les avoir faites … Il me restait qu’à l’annoncer à mon frère, qui bien sûr comme à son habitude réagis mal … m’obligeant presque à divorcée, ce qui était hors de question. Quand bien même je n’étais pas prête à avouer mes sentiments pour Jung Wan, je ne voulais pas laisser le loisir à mon frère de diriger ma vie.

Alors je lui ai tenu tête, peu importe ses remarques, ses crises de colères, il était hors de questions que je me sépare de Jung Wan, qui a ma plus grande surprise refusa à son tour de signer les papiers du divorce … Simplement pour faire rager Reona ? Sûrement un peu … mais je l’ai vu sous un jour différent, d’avantage prévenant, d’avantage tendre et doux, d’avantage aimant … Il tombait doucement amoureux de moi et rien n’aurait pu gâcher mon bonheur. Reona avait Junko, moi j’avais Jung Wan. Lui-même n’avais pas tenu compte de mes mises gardes. Aussi têtu et buté l’un que l’autre. N’ai pas Aikawa qui veut …

Je vivais un bonheur presque parfait avec Jung Wan depuis quelque mois lorsque je me fis kidnapper en pleine journée, en pleine rue. Battue, apeuré et devenu le jouet de ces hommes que je ne connaissais pas, je priais pour que Jung Wan vienne me sauver … Ce qu’il fit, sans que je ne comprenne pourquoi … comment pouvait-il avoir un lien avec eux sans que je ne le sache ? Comment les choses avaient-elle pu tourner ainsi … j’avais peur, j’étais devenu une proie facile et pour mon bien Jung Wan me renvoya chez moi. Et je l’ai haïs pour ça. Bien sûr j’avais peur pour ma vie, mais pour lui aussi, et pour nous. Je ne voulais pas le perdre, pas lui, pas l’homme de ma vie. Car oui Jung Wan était et est l’homme de ma vie, je le sais, je le sens. Je n’aime que lui et je n’aimerais que lui qu’importe le prix à payer. Docile et effrayée je suis rentrée chez moi en priant pour que rien ne le lui arrive … et commença des semaines et des mois de peurs, d’absence … et cette nouvelle. Si belle et si douloureuse … cette nouvelle qui m’effraya. Je ne savais à qui le dire, à qui me confier si ce n’est Yuya qui fut la messager …

Enceinte.


Mon monde s’écroulait et changeait. Un bébé, j’attendais un bébé. Un bébé dans ce monde si incertain, j’étais seule, sans nouvelle de Jung Wan. Comment l’annoncer à mes parents, à mon frère, à Jung Wan … comment faire pour l’avenir, le présent. J’étais fatiguée et perdue mais la chose dont j’étais le plus convaincue et que j’allais garder ce bébé, cet enfant, notre enfant. Je savais que Jung Wan allait me revenir … et on formerait la famille que nous étions censé être ! Nous formerons une belle et grande famille. Moi, Jung Wan et notre bébé. Oui notre bébé. L’annonce à mes parents fut moins dure que je ne l’aurais cru mais l’absence de l’homme que j’aime et du père de mon enfant pendant ma grossesse était quelque chose qui m’affaiblissait. Passé la période critique des 3 mois j’eus de violentes contractions m’obligeant à rester alitée des semaines pour la sécurité de notre enfant. Je ne voulais pas le perdre, pas perdre ce petit être qui me reliait à Jung Wan. Alors j’ai écouté les médecins et quand bien même mon envie de retourner voir Jung Wan je restais sagement au japon. Je lui avais annoncé la nouvelle par téléphone alors qu’il se trouvait dans ce centre dont je n’ai pas eu plus d’explication. Il semblait aussi surprise que moi et je n’étais pas sûr que la nouvelle le rende aussi heureux que moi …

Puis mon cas s’est aggravé, décollement du placenta, il fallait que je bouge le moins possible au risque de perdre mon bébé … Je m'étais accroché à lui comme s'il était ma source de vie, j'étais sa maman, son roc, je liais jour après jour des liens fort avec mon bébé. Le sentir en moi était la seule chose qui aujourd'hui savait me rendre heureuse ... J’ai tenté de rejoindre Jung Wan, qui ne me donnait plus de nouvelles et que je n’arrivais plus à joindre. Mais c’était prendre trop de risque. Et j’avais peur d’affronter mon frère, son regard réprobateur et déçu. Je ne voulais pas qu’il soit distant, en colère contre moi. J’avais besoin de mon frère, de mon grand frère, parce que je n’étais pas prête à ça, à cette vie seule. Je voulais mon frère pour me soutenir et me dire que tout irait bien, je voulais cet amour qui nous unissait petits et qui me donnait des ailes. Je voulais mon roc et l’homme que j’aime. Je voulais me sentir protéger et aimée … Je suis restée forte tout ce temps pour eux, pour lui, ce petit être en moi. Je suis restée forte mais je commence à flancher, il me faut les revoir au plus vite. Au plus tôt. Alors contre toute attente, je suis retournée en Corée. Enceinte jusqu’au cou, mon petit corps frêle arborait fièrement mon ventre rebondis d’une jeune femme enceinte de presque 8 mois. J’étais décidée à les retrouver et les garder près de moi. Je débarquais donc sur le sol Coréen avec cette surprise grandissant en moi laissant derrière moi la colère que j’éprouvais contre Jung Wan de m’abandonner encore et encore et mon frère de ne pas prendre la peine de m’appeler … Oui, je revenais ici pour un nouveau départ, une nouvelle vie et je comptais bien réussir, réussir à être heureuse !



Je peux une très jolie femme si je le veux mais à l’opposé je peux aussi avoir une allure très masculine. J’adore porter des pulls trop large pour moi et de grosse basque assortit à un short. C’est si confortable à porter, mais je dois avouer que j’aime faire craquer une certaine personne avec de petite robe d’été à bretelle fine, ou avec un jean qui me va terriblement bien. Je sais donc être féminine quand il le faut, et à vrai dire je le suis plutôt souvent quand je suis dehors. Chez moi c’est cocooning … Mais mon sens de la mode c’est détérioré avec ma grossesse, c’est vrai, vous avez-vous les vêtements pour femme enceinte que les enseignes vendent ? De vrai horreur ! Les traits de mon visage sont relativement poupons, et je les ai gardés apparemment longtemps. Pour ce qui est de mes cheveux aujourd’hui je les porte mi longs. Ils sont fins et léger mais surtout très noir, comme tous les asiatiques me direz-vous. Mais il m’arrive de les porter en carré plongeant. J’aime aussi les colorer ou y mettre de petits accessoires en tout genre. Des barrettes, des pinces, des plumes ou nœuds. J’aime être coquette et soignée, sans pour autant être superficielle et passer des heures dans la salle de bain.

Je ne suis pas spécialement grande, ni vraiment petite, le premier qui dit le contraire je lui fais manger ses chaussures, c’est vrai je ne fais qu’un mètre 63, mais c’est tout à fait normal pour une jeune femme asiatique. Je ne sais pas si je devrais vous dire mon poids mais au point où on en est. Je pèse entre 45 et 50 kilos, selon si je me laisse allez sur le Nutella ou non. Sauf en ce moment j’avoisine les 60 kilos … ça parait énorme mais il parait que c’est normal de prendre 10 kilos quand on est enceinte. Surtout à rester alité à regarder des Dramas toutes la journée. Mais je reste fine de visage et de buste, je reste assurément belle et cette grossesse ne fait que me donner plus d’éclat.

Je suis toujours souriante et de bonne humeur même s’il m’arrive d’avoir de petit coup de blues. Je suis plutôt franche et de caractère plutôt malléable mais il ne faut pas me chercher ou me prendre pour une idiote. Si les gens dépassent les bornes avec moi je sais les remettre à leur place sans crainte. Face au gens colérique et violent j’ai toute fois tendance à perdre mes moyens et me laisser faire. Parce que même si je ne suis pas du genre timide et soumise, dès que j’ai peur ou que je suis face à plus fort que moi je me recroqueville dans ma coquille et préfère faire l’autruche. Et ça m’a sauvé la vie un nombre incalculable de fois … J’adore prendre soin des autres, discuter avec eux et les écouter, pourtant en grandissant j’ai fini par avoir besoin de temps pour moi et de recule. Je suis toujours prête à rendre service s’il le faut.

Mais je n’ai pas que des qualités, je suis surtout … je suis très très très gaffeuse, j’ai tendance à vouloir trop bien faire et ça finit par un accident … on ne se demandera plus pourquoi je me suis fait viré de mon boulot de serveuse … Je me mets rarement en colère mais quand je le suis … c’est que la personne m’a vraiment blessé ou que c’est la goutte de trop. Et mon côté têtu, buté et rancunier n’aide pas des masses … Et je suis de nature jalouse et possessive, même si je ne fais pas vivre un enfer à ceux que j’aime. Mais un minimum comme tout le monde je pense … J’ai parfois des réactions sûrement gamine et inapproprié mais c’est ma façon d’être. Sans être manipulatrice il m’arrive d’user de mon sourire ou d’une petite moue triste pour avoir ce que je veux de mon frère ou de mes parents. Non pas que j’en abuse à tout bout de champs hein mais … ça mets bien utile. Parfois. Souvent. Quand j’ai besoin. Ahem … Je suis pleine de vie, explosive et douce. Une rose. Belle, qui sent bon mais avec du piquant. Mais malgré tout je reste une jeune fille pleine de vie et agréable ne vous inquiétez pas. Et en plus je ne suis même pas envahissante ! Ou presque.

Questions hobbies j’adore faire la cuisine, je me débrouille plutôt pas mal sur ce dernier point et j’en fais toujours profiter ma famille, mes amis, ceux que j’aime. Je peux vous faire toutes sortes de plats et particulièrement les pâtisseries et les gâteaux. Ma grand-mère était très douée et m’a confié tous ses petits secrets. Elle avait de nombreux talent et la cuisine en faisaient partit. Elle m’a donc donné ce goût pour la cuisine m’apprenant à faire des monts et merveilles. Du simple croissant en passant par le chou à la crème et pour finir au moelleux aux chocolats. Des mets gourmand occidentaux mais qui sont un vrai régal !!

J’adore la danse aussi, beaucoup de monde me disent que j’ai un vrai talent pour ça mais quand je vois certaines idoles de nos jours je me dis que je suis loin d’avoir leur niveau. Et depuis que je suis cloué à ce lit je crois que c’est l’une des choses qui me manque le plus. Danser et me sentir libre … Alors pour compensé j’entraîne mon chant qui fait aussi partit de mes passes temps favoris, même si je n’aurais pas pu en faire mon métier. J’ai une voix agréable mais qui ne brille pas par son éclat, une voix comme on en trouve un peu partout. J’adore jouer du piano et chanter en même temps. Ça me relaxe et ma mère me dit que j’ai la voix d’un ange –on sait tous que les parents ne sont pas objectifs - … alors si je peux au moins chanter pour elle, ça me convient parfaitement.

● Prénom/Pseudo;; Papy ● Âge;; 24ans ● Sexe;; M. ● Localisation;; Toujours pareille ● Possibilité de connexion; 5/7 ● Nb de ligne en RP;; 900-1000 ● Comment connaissez-vous le fow;; DC de Baek Wan Sun ● Un dernier mot;; validé by Reona~