- FEAT - Kwon Yuri (SNSD) Poste vacant : non

20 ans ● Né(e) à Séoul le 14/02/1991 ● Étudiante ● 2ème année ● Célibataire ● Hétérosexuelle ● Dancers addictions • Un tatouage à l’épaule gauche ● Un piercing au cartilage gauche ● Ne boit qu’occasionnellement et en soirée ● Une grande addiction aux sucreries quand elle est triste !

Raconter ma vie ? Si vous y tenez tant, soit, je conçois à le faire. Je suis née le 14 Février, jour traditionnel de la Saint Valentin. En y repensant, c’est assez ironique en vérité mais l’explication viendra plus tard. Je naquis donc dans un milieu aisé, fortuné presque même peut-être dirais-je et à l’abri de tout souci financier. Mon père est un PDG respecté notamment, j’ai donc toujours vécu dans un statut social élevé, d’où ma façon de parler que beaucoup jugent « étrange » en effet. Ma mère n’avait que mon propre statut : fille d’un patron. Je suis leur première enfant et bien que je fusse une fille, cela parut leur suffire amplement, puisque je n’ai jamais eu de frère ou de sœur. On m’a chouchoutée et dorlotée, si les jouets peuvent remplacer l’affection des parents. Sur le moment, je dois avouer que je me complaisais bien dans ce luxe. Une nounou pour s’occuper de moi et le moindre de mes désirs exaucés, que pouvais-je demander de plus ? Mon père travaillait et ma mère sortait souvent avec ses amies boire le thé. Un peu trop souvent d’ailleurs d’après mon paternel. Bref, le petit être que j’étais était totalement comblé, même si je ne voyais que très occasionnellement mes géniteurs. Peut-être cela fut-il mieux car j’ignore quelle eût été ma décision quelques années plus tard si jamais il y avait eu le moindre lien affectif entre nous. Je n’aurais certainement pas eu le courage d’arriver là où je suis présentement.

Sur mon enfance, il n’y a pas grand-chose à dire. Je suis allée dans une des meilleures écoles maternelles et primaires du pays, où j’ai vite appris à lire, écrire et compter. On disait même de moi que j’étais précoce comme élève et on parlait de me faire passer une classe : mais avec le peu de présence de mes parents pour s’y intéresser, cela ne se concrétisa pas et à vrai dire, je n’ai jamais eu aucun regret à ce sujet. Déjà que l’on me voyait comme la petite fille riche et trop gâtée, je ne crois pas qu’il eût été mieux de me coller l’étiquette supplémentaire de petit prodige. J’avais beau être dans une école de renommée, principalement réservée aux enfants de gens riches, la jalousie de ceux qui avaient encore plus d’argent n’en était pas moins élevée. Même toute petite, je remarquais bien les regards sombres des parents de mes camarades sur moi quand ma nounou venait me chercher. Elle était vraiment gentille d’ailleurs et elle s’occupait très bien de moi. J’appris d’ailleurs quelques années plus tard qu’elle avait eu une fille aussi, qui était morte d’une leucémie. Peut-être était-ce pour cela qu’elle se montrait si affectueuse avec moi : elle avait de l’affection à donner et moi j’en avais besoin. Je crois sincèrement que c’était la seule personne qui se souciait réellement de moi et que je portais dans mon cœur.

Si mon enfance ne m’a pas marquée plus que cela, je me souviens cependant avec précision du jour de mes treize ans. En apparence, c’était un jour comme les autres, hormis que pour une fois, nous étions à table avec mes parents. C’était l’un des seuls moments où nous nous tenions tous les trois ensembles pour manger. Sincèrement, je n’en étais pas plus heureuse que d’ordinaire, au contraire, car il me fallait être encore plus raffinée et convenable que d’ordinaire. Alors que je n’avais plus qu’à souffler mes bougies avant que nous ne mangions le gâteau et mettions fin à cette scène familiale des plus hypocrites, ma mère intervint étrangement. Oui, c’était étrange, car généralement, elle ne parlait que très peu. Dès qu’elle nous avait annoncés qu’elle avait quelque chose à dire, j’ai de suite eu un très mauvais pressentiment. Ce fut de cette façon que nous apprîmes qu’elle trompait mon père depuis plusieurs années et qu’elle comptait le quitter sans autre forme de procès. Les prétendues sorties avec des amies n’étaient donc en vérité que des mensonges. Alors qu’elle avait l’intention de froidement nous quitter sur le champ, mon père la retint dans son élan et la gifla violemment, de telle sorte qu’elle tomba au sol. Commença alors un spectacle horrifiant dont je me rappelle toujours avec exactitude. Sans la moindre émotion, il commença à la battre, purement et simplement, avec une absence de rage aberrante. Ce n’était pas de la jalousie, ce n’était pas de la rage : c’était simplement une punition qu’il lui donnait pour la faute qu’elle avait commise. Ma mère, elle, en revanche, était complètement affolée et criait de toutes ses forces. Je n’ai pas bougé d’un poil, contemplant avec consternation ce que je voyais. Je savais que ce qu’il faisait était mal, qu’il n’avait pas le droit de la frapper, même pour ce qu’elle avait fait. Mais j’étais paralysée. De plus, aucun des domestiques n’est intervenu. Ils contemplaient la scène, indifférents : mon père était le maître, sans doute jugeaient-ils inapproprié et mal vu de s’opposer à sa volonté. Quoiqu’il en fût, ma mère souffrit atrocement mais il ne la battit pas à mort. Je crois qu’il devait juger que ce serait une peine trop douce pour elle. C’est assez glauque, je l’avoue. Alors il préféra faire toujours durer le châtiment le plus longtemps possible mais de telle sorte qu’il pût le renouveler le jour suivant. Et ainsi de suite. Cela ne s’arrêta jamais.

Parallèlement, c’est à cette époque que j’ai développé ma passion pour la danse. Je veux dire, certes, mes parents m’ont envoyée prendre des cours de danse classique, pour faire de moi le stéréotype parfait de la fille modèle mais j’y allais sans passion ni aucune joie. La danse classique était plus un calvaire à endurer qu’autre chose à vrai dire, même si en vérité, ce fut ce qui me donna les bases. Mais je développai mon enthousiasme pour la matière grâce à une rencontre. L’avantage que mes parents ne fussent pas là – car désormais mon père veillait bien à ce que ma mère se rendît le plus souvent possible chez ses amies et non pas chez son amant – c’était que je pouvais sortir facilement avec ma nounou sans craindre la moindre représaille. Nous sortîmes donc comme chaque mercredi après-midi nous balader dans Séoul. Alors que nous étions sur le point d’aller manger une glace, car je raffolais de sucreries, je m’arrêtai en plein chemin. Mon attention fut captée par un groupe de garçons, autour desquels plusieurs personnes étaient rassemblées. Ils étaient en train de danser mais cela n’avait rien à voir avec ce que je faisais. J’appris ensuite ce que c’était : du hip-hop. Instinctivement, je m’approchai et les admirai à mon tour. Un en particulier attira mon attention et il semblait de toute évidence être le leader de la bande. Ils avaient environ mon âge mais je me sentais bien bête à côté d’eux, il fallait le reconnaître. Aussi, quand ils eurent fini, j’insistai auprès de ma nounou pour qu’on leur donnât un peu d’argent. Et ce fut quand le garçon la vit déposer les quelques pièces à ma place qu’il vint m’aborder derrière son dos, me traitant amicalement, je cite de « fille de riches ». Je ne saurais expliquer pourquoi mais en quelque sorte, cela me fit mal. J’avais pourtant l’habitude que l’on me vît ainsi mais l’entendre de sa bouche me blessa. Et j’en fus énormément vexée.

Je pris cela d’emblée comme un défi. Une confrontation s’installa alors entre nous et je me promis de ne pas flancher. Seulement quand il me mit au défi de faire mieux que lui, je ne pus rien faire. Je me sentis bien idiote sur le coup alors qu’il ricanait. Ma nounou arriva à ce moment pour que nous partions sans plus attendre. Mais je ne pouvais pas oublier cet affront qui me tracassait toujours. Je m’arrangeai donc pour sortir à nouveau, avec des « amies » cette fois. Je dirais plus qu’il s’agissait de fréquentations purement professionnelles dues au rang de nos parents respectifs. Quoiqu’il en fût, grâce à elle, je pus retourner au même endroit sans que ma nounou ne fût avec moi. Une fois de plus, ils étaient là. Elles flashèrent immédiatement sur eux également, n’ayant jamais vu, comme moi la première fois que je les avais découverts, de garçons dansaient ainsi. Comptant sur moi pour arranger le coup, j’allai donc trouver mon adversaire. Il me reconnut tout de suite et esquissa un sourire moqueur, en me demandant si je venais prendre ma revanche. Pour toute réponse, je lui demandai simplement de m’apprendre à danser comme il le faisait. Autant dire qu’il en fut estomaqué. Je ne fis même pas la fille hautaine qui aurait proposé de l’argent en échange, je crois sinon que jamais il n’aurait accepté. Car oui, il accepta, curieux de voir ce que je valais, et ainsi je parvins à rapprocher nos deux groupes. Tout le monde y trouvait son compte et nous nous donnions tous rendez-vous le mercredi après-midi désormais. Les autres parlaient et riaient pendant que j’apprenais à danser le hip-hop. Et d’adversaires, nous devînmes amis.

Contrairement à moi, il n’était pas riche, d’ailleurs je m’en étais doutée un peu sinon je ne l’aurais pas vu danser pour de l’argent. Mais il était sympathique, c’était vrai et patient pour m’apprendre à bouger comme lui. Le plus dur fut de me faire perdre ma tendance à me tenir constamment droite et à m’élever. Pour ce qui fut du reste, j’appris relativement vite et y prit réellement du plaisir : pour la première fois, j’aimais ce que je dansais et c’était très agréable comme sensation. Jamais je ne m’amusais autant en apprenant. Surtout avec lui, nous riions beaucoup, en particulier quand il m’enseignait quelque chose de nouveau. C’était toujours très comique, j’avais souvent l’impression d’être un crapaud ! A vrai dire, je crois même que j’avais de l’affection pour lui. Suffisamment pour penser que j’étais amoureuse. Malheureusement, je n’eus pas le temps de lui en faire part qu’un beau jour, mon père rentra plus tôt et fut furieux d’apprendre que j’étais sortie, même avec des camarades. Donc, il décréta qu’il fallait m’envoyer en pensionnat pour la semaine et que je n’aurais le droit que de rentrer le week-end pour rester à la maison ou aller aux cours de danse classique. Il intima par ailleurs aux domestiques de bien surveiller mes allées et venues, comme si j’étais un animal qu’il fallait tenir en cage. Qu’à cela ne tienne ! Je décidai donc par moi-même de sortir le soir en douce, quand tout le monde croyait que je dormais, fixant donc un nouveau rendez-vous à la petite bande que je m’étais faite. Ce fut mon « professeur » qui choisit le lieu, une boîte de nuit (j’ignorai jusqu’alors leur existence), et nous pûmes nous retrouver de nouveau. Cela contribua à mes « leçons » puisque je découvris qu’on dansait dans ces endroits. Parce que je sentais que désormais nos entrevues seraient plus rares et que j’avais un mauvais pressentiment à ce sujet, je le pris à part pour me confesser mais il fut plus rapide que moi. Je ne vous fais pas de dessin vous devez bien vous douter de la suite, parce que c’était presque digne d’une scène de drama, même si généralement les personnages sont toujours plus coincés.

Enfin bref, comme je l’avais pressenti, mon retour se passa mal. Très mal. Lorsque je fus de retour vers trois heures du matin dans ma chambre, mes parents y étaient déjà. La raison ? Ma mère était passée dans la pièce et m’avait ouvertement dénoncée. Alors qu’elle savait pertinemment et personnellement de quoi mon père était capable. Mais par caprice ou égoïsme, sans voyait-elle cela comme une chose juste que je payasse autant qu’elle. Car non, mon père ne se montra pas plus indulgent avec moi et me frappa aussi, sous le regard méprisant de celle qui m’avait mise au monde. Tout du long, j’eus droit à des remarques hostiles comme « Tu n’es qu’une bonne à rien ! », « Jamais je n’ai tiré la moindre satisfaction de ta part ! » ou encore « Ton existence ne m’a jamais rien apporté de bon. ». Charmant n’est-ce pas ? Et encore, il ne savait pas que sa fille était allée s’enticher d’un garçon pauvre, car il aurait simplement les choses comme cela. Inutile de dire qu’il me croyait encore vierge et pure, à ce moment, c’était certain. Toutefois, je me suis défendue. Oui, moi je ne me suis pas laissée battre misérablement comme ma mère, en priant que les derniers coups arrivassent bientôt. Ça n’a pas plu d’ailleurs à mon paternel. Qu’importe si les coups étaient plus rudes : il était hors de question que je me laissasse frapper sans répliquer. L’influence de mon aimé m’aura au moins appris à ne pas me laisser marcher sur les pieds. Mais je ne le revis plus jamais. Tout était contrôlé, même de nuit. C’était à peine si je pouvais envoyer librement des textos. Tout espoir était perdu et mon amour aussi. Mais mon père ne me frappa pas à nouveau : il considéra qu’il s’agissait d’une « erreur de parcours ».

Mais je ne renonçai pas à ma soif de liberté, aussi commençai-je à préparer, dans leur dos, mon départ lors de ma majorité. Je commençai à mettre mes économies d’anniversaires et de Noël de côté et entrepris également de retirer de l’argent depuis les comptes bancaires de mes parents : pour cela, ils me donnaient carte blanche, l’argent n’avait jamais été un problème. Comme quoi, il avait été utile que je fusse capricieuse : ils croyaient que c’était à cause de cela que j’agissais ainsi. Même si j’étais atrocement peinée de ne pouvoir revoir celui que j’aimais, je me devais d’avancer, parce qu’il était hors de question que je moisisse ici indéfiniment jusqu’à ce qu’ils me choisissent un mari de force et que je finisse comme eux. Je fis donc de ma passion ma vocation professionnelle : la danse me guiderait pour trouver mon futur métier. J’avais d’abord songé à devenir ballerine professionnelle mais en réalité, je n’y trouverais certainement pas ce que je voulais, songeai-je. M’accordant le bénéfice du doute, je décidai donc de postuler pour la prestigieuse Twaelpyeol Hakkyo, où on formait les stars de demain. Devenir une idole pourquoi pas ? Me dis-je. Comble du bonheur, il y avait même un internat ! Dès ma majorité donc, j’annonçai clairement mon projet à mes parents, que je ne considérais déjà plus comme tels. Évidemment, je savais qu’ils s’y opposeraient et mon père voulut d’ailleurs me gifler : j’esquivai. La danse avait du bon. Je m’enfuis donc comme une voleuse, mes affaires m’attendant déjà dans le hall et j’avais demandé à une amie, de l’époque où j’apprenais encore le hip-hop, de venir me chercher. Résultat : ils ne purent pas me retenir. Nous avions déjà prévu un appartement où loger ensemble, pendant que j’attendrais mes dix-neuf ans pour rentrer à Twaelpyeol Hakkyo. Ce qui arriva bien, un an plus tard.

Je suis donc actuellement en deuxième année de danse, où je me débrouille bien, en espérant devenir une idole. Quant à mon passé, je le supporte comme je peux : depuis mon départ, je n’ai plus le moindre contact avec mes parents. J’ai par ailleurs profité de mon indépendance pour me faire faire un piercing et un tatouage, cadeau de Noël & d’anniversaire à moi-même.


Commençons par mon caractère. A première vue, on dirait que je suis une fille hautaine et avec un ego surdimensionné. Pourquoi ? Déjà à cause de ma façon de parler : cela fait très « bourge » comme on dit. Je saisis bien entendu le langage familier, ne me prenez pas pour une idiote non plus : je déteste cela. Et je peux facilement répliquer si jamais il vous prenait l’envie de vous attaquer à moi, j’ai déjà appris qu’il ne fallait pas se laisser marcher sur les pieds, et encore moins quand on aspire à entrer dans le monde du showbiz. Autrement, ma façon de m’exprimer est peut-être calme et étrange mais cela ne m’empêche de répliquer et je peux également me montrer vulgaire quand je parle, n’oublions pas que cela va faire deux ans que j’ai quitté le cocon familial et donc que je vis davantage au milieu de jeunes. Après, il est vrai que j’ai une fâcheuse tendance à penser que l’argent coule de source, puisque je n’en ai jamais manqué. Autrement, je reste persuadée que c’est quelque chose de facile à obtenir et que tout le monde peut en avoir sans problème. Naïve ? Peut-être pas non plus. Je ne crois pas n’importe quoi et surtout pas n’importe qui. Je me méfie énormément des autres, ayant été trahie par ma propre mère et jalousée par les gens autour de moi à cause de mon argent, et donc, leur accorder ma confiance n’est pas chose facile. Mais ce n’est pas rare, cela prend seulement peut-être plus de temps que la plupart des gens. Être mon ami(e) n’a rien d’anormal ou de surprenant, je suis loin d’être solitaire. Ensuite, je pense qu’on peut dire que j’ai une certaine répartie et également un certain sens de l’humour que j’ai acquis dans mon adolescence : je sais prendre les choses au second degré quand on me taquine et je ne me froisserai pas si quelqu’un fait une plaisanterie à mon égard. Au moins, cela voudra dire que je suis considérée d’égal à égal avec les autres. J’aime bien certes me faire remarquer par mon talent mais je n’aime pas qu’on me traite différemment parce que je viens d’une « famille de riches ». Je suis tolérante et ne fais pas de barrières avec les autres parce que nous ne venons pas des mêmes milieux sociaux. A vrai dire, je m’en moque.
Après … quoi ? Vous voulez savoir comment je suis en mode « in love » ? Admettons. Je n’ai aimé quelqu’un qu’une seule fois mais ce n’est pas pour autant que je suis un mur « anti amour » non plus. A vrai dire, je pense qu’il faut avoir tout savoir m’impressionner pour attirer mon attention. Après si vous êtes sympathique et drôle, vous avez de grandes chances de capturer mon cœur. Enfin bref, je suis loin d’être la princesse complètement gaga de son prince mais bon, un peu quand même. Selon moi, on doit pouvoir parler librement de tout, même si je n’exige pas non plus d’être au courant d’exactement TOUT ce qu’il ferait, mais je ne comprendrais pas vraiment par exemple d’avoir un silence en réponse, si je pose une question. Pas de tabou, donc je peux tout à fait avouer sans problème que mon père battait ma mère devant mes yeux et qu’il m’a battue également. Ce sujet ne doit pas paraître étrange à en parler. De plus, je crois que je pourrais également me montrer un peu possessive. Pas hystérique mais bon, si des filles lui font les yeux doux, forcément, je ne vais pas apprécier.

Sinon, niveau physique. Tout d’abord, je suis assez grande, presque un mètre soixante-dix, et on le voit tout de suite à mes jambes. Je n’en suis pas tout de même pas au Asia Pacific Super Model non plus ! On peut dire que je suis mince, j’ai même un joli ventre plat – les abdos ça sert ! – que j’aime bien montrer quand nous sommes en été. Il est courant aussi de dire que je suis belle, que j’ai un beau visage. Il est vrai que je prends soin de mon apparence, comme la majorité des filles coréennes, et que j’aime bien voir par moi-même que je suis jolie, selon ma propre notion de ce qui est joli bien entendu. J’ai de longs cheveux bruns qui me valent le surnom de « Black Pearl » par mes proches. Sinon, niveau vestimentaire, je m’habille en suivant généralement la mode, privilégiant toujours les hauts talons mais je ne serais pas non plus parfois contre une paire de Nike. Ah ouais, je m’habille toujours avec des vêtements de marques, c’est plus fort que moi. Mes ongles sont toujours également manucurés et ça me contrarie si jamais un d’eux se casse mais pas au point que je pique une crise. Je ne tuerai personne parce qu’il m’a bousculée accidentellement et que dans ma chute je me suis cassée un ongle ! Ma silhouette et mes années de danse ont également fait que je suis très souple.

● Prénom/Pseudo;; Juh ● Âge;; 17 ans ● Sexe;; Fille ● Localisation;; Nord-Pas-de-Calais où il fait froid >< ● Possibilité de connexion; 6-7/7 ● Nb de ligne en RP;; … je me suis jamais amusée à compter à vrai mais en mots, je peux dire que je fais facilement 1200 minimum ^^ ● Comment connaissez-vous le fow;; Avec le partenariat de Angel Entertainment & surtout en fait par ma sœur qui joue Chu Ga Eul ! \o ● Un dernier mot;; Validé par Bananaji ~